lundi 8 novembre 2010

VOUS QUI RAMEZ, ECOUTEZ !

« Le soir étant venu, la barque était au milieu de la mer, et Jésus était seul à terre. Il vit qu’ils avaient beaucoup de peine à ramer ; car le vent leur était contraire. A la quatrième veille de la nuit environ, il alla vers eux, marchant sur la mer, et il voulait les dépasser. Quand ils le virent marcher sur la mer, ils crurent que c’était un fantôme, et ils poussèrent des cris ; car ils le voyaient tous, et ils étaient troublés. Aussitôt, Jésus leur parla, et leur dit : « Rassurez-vous, c’est moi, n’ayez pas peur ! » Puis il monta vers eux dans la barque, et le vent cessa. »

(Evangile de Marc chapitre 6, versets 47- 51)


Il y a des messages que nous prenons très au sérieux parce qu’ils sont d’une importance capitale pour notre vie. Ainsi, lors d’une pandémie (par exemple dans le cas de la grippe A H1N1), toute communication faite par le ministère de la santé est examinée avec le plus grand soin par ceux qui veulent préserver leur santé. Cependant, il y a bien d’autres difficultés de la vie pour lesquelles seul Dieu peut intervenir afin de nous mettre à l’abri. Bien souvent, nos vies ressemblent à celle de ces hommes dont la mésaventure est décrite plus haut ; nous ramons avec beaucoup de peine car le vent, c’est-à-dire les mauvaises circonstances de la vie, nous est contraire. Devant la peur, l’angoisse, l’incertitude du lendemain, le deuil, la maladie et bien d’autres situations, nous sommes comme sur une mer agitée ; quelle réponse avons-nous dans ces cas-là ?
Tant que nous laisserons Jésus seul, comme l’ont fait ces hommes, nous serons désemparés, nous serons troublés. Mais dans son amour, le voilà qui s’approche de chacun de nous. Il vient se révéler à tous comme étant le Sauveur, celui dont la présence suffit à rassurer nos cœurs. Vous qui ramez, vous qui souffrez, vous qui n’avez pas la paix, retournez-vous, et voyez Jésus s’approcher de vous. N’ayez pas peur de lui, car il vous apporte le secours que vous attendez. Ce n’est pas un fantôme, mais c’est Dieu qui s’est fait homme afin de nous faire entrer dans l’alliance d’Abraham à qui il avait été dit : « Toutes les familles de la terre seront bénies en toi et en ta postérité ».
Bannissons tout préjugé, et acceptons très honnêtement d’examiner les paroles de Jésus, et surtout d’expérimenter son amour. Lorsque ces hommes furent convaincus qu’il n’était ni un fantôme, ni un imposteur, ils le firent monter dans leur barque. Alors le miracle se produisit : Le vent cessa. Si, rejetant tous les mensonges dits en ce qui concerne la personne de Jésus, vous le reconnaissez comme le Fils de Dieu, comme l’unique Sauveur des hommes, si vous l’invitez dans votre vie, alors le miracle se produira. Tout s’éclairera pour vous, et vous connaitrez une liberté et un bonheur sans pareil. Jésus apporte la vraie vie. Par son Esprit qu’il donne à tous ceux qui croient en lui, on reconnaît Dieu, non plus comme un être lointain, indifférent aux besoins des hommes, mais plutôt comme un Père tout proche qui forme de bons projets pour chacun de ses enfants.Cherchez à connaître Jésus. Adressez-lui une prière secrète, jaillissant du fond de votre cœur, soyez à l’écoute, et vous verrez qu’il répondra. Ne ramez plus ; acceptez le secours de Jésus.

mardi 2 novembre 2010

IL PARLAIT AVEC UNE FEMME !

« Là-dessus, arrivèrent ses disciples, qui furent étonnés de ce qu'il parlait avec une femme. Toutefois aucun ne dit : Que demandes-tu ? ou : Pourquoi lui parles-tu ? Alors la femme, ayant laissé sa cruche, s'en alla dans la ville, et dit aux gens : Venez voir un homme qui m'a dit tout ce que j'ai fait ; ne Serait-ce point le Christ ? Ils sortirent de la ville et vinrent vers lui. » Evangile de Jean, chapitre 4, versets 27-30.

Ce texte de la Bible nous révèle Jésus, l'ami de tous, celui qui ne fait point d'acception de personnes. Il parle avec une femme qu'il rencontre près d'un puits. Si ses disciples avaient eu le courage de lui poser la question qui brûlait tant sur leurs lèvres, il leur aurait dévoilé les projets de Dieu pour cette femme. En effet, il lui parlait parce qu'elle avait besoin de consolation, après tant d'années de souffrances et d'échec. Combien de gens l'avaient certainement critiquée et jugée sans vraiment mesurer le désespoir de son âme ! Combien avaient dû la refouler alors qu'elle cherchait une oreille attentive afin de confier le fardeau de son cœur ! Enfin, il y avait quelqu'un qui acceptait, qui prenait le temps de l'écouter : c'était Jésus qui lui apportait les réponses qu'elle attendait, qui lui proposait l'unique moyen pour se sortir d'une vie de misère morale, sentimentale et psychologique. Pour elle, c'était enfin la vraie liberté. Désormais, elle avait la force d'aller parler à ses concitoyens, ces gens qu'elle craignait certainement de regarder dans les yeux du fait de sa vie peu louable. Jésus est véritablement celui qui nous réconcilie avec Dieu notre Père, mais aussi avec nos semblables.
Jésus parle avec une femme ou avec un homme humilié, déshonoré par la vie.
Jésus parle aussi avec une personne malade et lui annonce une pleine guérison. C'est lui qui dit au lépreux : je le veux, sois pur, à l'aveugle : va, ta foi t'a sauvé, ou au paralytique : lève-toi et marche. Et ce qu'il ordonne s'accomplit.
Jésus parle avec un pécheur pour lui donner la victoire sur le péché et en faire une nouvelle créature. Il est mort sur la croix pour rendre possible aux hommes une vie conforme à la volonté de Dieu. Son sang nous purifie de tout péché, son sacrifice nous réconcilie avec Dieu et nous donne accès à ses bénédictions. Quelle qu'ait été notre vie passée, Jésus a le pouvoir de l'effacer et de nous donner un cœur nouveau, une perspective nouvelle.
Jésus parle avec celui qui n'a plus d'espoir, celui qui n'attend plus rien de la vie. Il lui annonce l'espérance car tout est possible à celui qui croit. N'avait-on pas dit à un nommé Jaïrus : n'importune plus Jésus car ta fille est morte ? Cet homme continua de croire après avoir été encouragé par le Seigneur. Alors, sa fille ressuscita. Un autre homme était malade depuis trente huit ans ; tout espoir de recouvrer la guérison était évanoui, mais Jésus le releva par une seule parole : lève-toi !
C'est peut-être le temps où Jésus veut aussi vous parler parce qu'il connaît tous vos besoins non pourvus. Ne lui résistez plus, mais soyez attentifs à son amour, à sa sollicitude. Il veut vous rendre l'espoir, la santé, la dignité, la paix. N'a-t-il pas dit : Invoque-moi au jour de la détresse ; je te délivrerai et tu me glorifieras ? Soyez bénis et encouragés par la lecture de cette exhortation.

dimanche 24 octobre 2010

HÂTE-TOI DE DESCENDRE

      Jésus fut un voyageur infatigable. Un de ses amis raconte comment, il allait de lieu en lieu, faisant du bien, guérissant tous ceux qui étaient sous l'emprise du diable. La détresse des gens ne le laissait pas indifférent. Il les aimait et avait le pouvoir de répondre à tous leurs besoins. Au cours d'une de ses nombreuses campagnes de bienfaisance et de secours aux personnes affligées, il se rendit dans la ville ancienne de Jéricho. Là, il fit une rencontre inhabituelle. Un homme nommé Zachée attendait de le voir, caché dans les branches d’un arbre. Jésus n'eut pas besoin qu'on l’avertisse de la présence de Zachée dans l'arbre. C'est lui qui anticipa en levant les yeux, puis avec un regard plein de compassion et d'amour invita Zachée à descendre. Il faut dire que les gens de Jéricho n'aimaient pas beaucoup leur concitoyen à cause du travail qu'il faisait. Mais Jésus est venu pour tous, pour les bons comme pour les méchants, pour ceux qu'on aime, comme pour ceux qu'on n’aime pas. Aucune ville, aucun quartier, aucune cité n'est à exclure de la bonté de Jésus. Dans ces temps orageux que nous traversons, à cause de la conjoncture économique, de la précarité de l'emploi, de la fragilité de la cellule familiale, des problèmes de violences et autres difficultés plus personnelles, jésus s'invite à notre beau quartier de l'Ariane. Il vient vers nous pour nous guérir, pour nous encourager, pour nous montrer le chemin du vrai bonheur. Avec beaucoup d'insistance d'amour, il invite chaque femme, chaque homme, chaque enfant d’ici, à descendre de son arbre. L'arbre des raisonnements, l'arbre de la suffisance, l'arbre de la peur. Il veut nous rencontrer en tête à tête, afin de nous faire connaître, le chemin, la vérité et  la vie. Il n'y a aucun risque à lui faire confiance, parce que son amour pour nous, l'a conduit à mourir sur une croix comme un quelconque malfaiteur. Lui, qui pourtant, fut le plus excellent des messagers de Dieu. Qu'attendons-nous chers amis ? Allons vers lui, apportons-lui nos maux et nos souffrances, et prenons son repos sa paix et sa joie. Soyez tous bénis dans le nom de Jésus.
Evangile Luc 19 : 1-10

lundi 18 octobre 2010

DECOUVRIR LA GRACE DE DIEU !

La grâce de Dieu s’est révélée, la grâce de Dieu a été manifestée à travers la venue de Jésus-Christ parmi les hommes. Cette vérité nous amène à ne pas avoir peur de Dieu, à ne plus le considérer comme un juge qui nous condamne ou nous prive de liberté, mais plutôt comme un Père aimant, rempli de miséricorde et de compassion à l’égard de ses enfants. Ce que Dieu veut, c’est que chaque être humain vive dans la foi en son amour, dans la vérité, dans la paix et dans une entière espérance en son efficace secours. C’est pour cette raison qu’il nous tend la main à travers le don de sa grâce. Par elle, il nous invite à nous réconcilier avec lui en acceptant de renoncer au péché. Nous devons savoir que le sacrifice de Jésus sur la croix est le seul remède contre le péché ; lui seul peut nous en libérer, pourvu que nous lui en fassions la demande. Les convoitises terrestres, la course aux plaisirs, sont la ruine des hommes. Mais vivre dans l’obéissance à Jésus nous rend nobles et beaux aux yeux du Créateur. Par sa grâce, Dieu nous appelle aussi à puiser dans ses provisions afin de satisfaire toutes les attentes de notre vie. Notre corps a des besoins ; notre âme et notre esprit en ont bien davantage. Une relation vivante avec le Christ peut les combler, plutôt qu’une religion pratiquée pour se donner bonne conscience. La grâce de Dieu nous conduit également à espérer au milieu d’un monde qui a perdu espoir. Dieu est vivant, il est vrai ; quiconque s’approche de lui est abondamment, pleinement rétribué car notre Dieu est riche pour ceux qui l’invoquent. Nous vous invitons à faire l’expérience de la grâce de Dieu ; ne laissez aucune influence humaine vous priver du bonheur que Jésus vient vous donner, réfléchissez très sérieusement à l’appel de l’évangile et convertissez-vous. Nous formons le vœu que dans vos cœurs, se lève un printemps de paix, de joie et de bonheur, dans le précieux nom de Jésus.

samedi 2 octobre 2010

L’AGNEAU QUI ÔTE LE PÉCHÉ !

Lorsque Jésus arrive dans la région de Béthanie (Jean 1 : 28), il y a une foule de personnes venues écouter les sermons de Jean-Baptiste. Ces gens sont tellement convaincus par le ministère de ce grand prophète qu’ils ne font aucun cas de la présence de Jésus au milieu d’eux. Ils ne le connaissent pas. Ils ne discernent pas sa puissance. Il est permis de croire que s’il se présentait lui-même à eux comme le Messie, le Sauveur du monde, ils l’auraient radicalement rejeté. Fort heureusement, Jean-Baptiste reçut dans son cœur la conviction que Jésus était l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Il le fit connaitre à cette foule en quête de vérité, et quelques-uns, se laissant persuader, suivirent Jésus.
            Aujourd’hui, tant de religions, tant de traditions, tant d’opinions occupent le cœur des hommes, les rendant imperméables à l’amour de Jésus. Cher ami qui lisez ces lignes, ne continuez pas à combattre contre Jésus ; mais plutôt, voyez-le venir à vous, et reconnaissez-le comme l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. C’est là d’ailleurs toute la signification de la Pâque que les chrétiens ont célébrée il y a quelques jours. Croire en Jésus, c’est entrer dans l’alliance que Dieu fait avec les hommes par le moyen du sacrifice de l’Agneau :
· Le sang de l’Agneau nous purifie de tout péché, nous rend justes devant Dieu et nous fait devenir ses enfants.
· Les blessures de l’Agneau nous guérissent de toutes maladies et infirmités.
· La lumière de l’Agneau éclaire notre cœur et nous conduit dans toute la vérité. Ainsi, nous ne marchons plus dans les ténèbres, nous n’avons plus peur.
· La puissance et l’amour de l’Agneau gardent nos vies et pourvoient quotidiennement à tous nos besoins.
· Puis, lorsque, par la mort, nous aurons quitté ce monde, nous participerons au grand festin des noces de l’Agneau.
            Comme Jean-Baptiste, accueillez-le aujourd’hui, et il vous donnera un bonheur éternel.