dimanche 24 octobre 2010

HÂTE-TOI DE DESCENDRE

      Jésus fut un voyageur infatigable. Un de ses amis raconte comment, il allait de lieu en lieu, faisant du bien, guérissant tous ceux qui étaient sous l'emprise du diable. La détresse des gens ne le laissait pas indifférent. Il les aimait et avait le pouvoir de répondre à tous leurs besoins. Au cours d'une de ses nombreuses campagnes de bienfaisance et de secours aux personnes affligées, il se rendit dans la ville ancienne de Jéricho. Là, il fit une rencontre inhabituelle. Un homme nommé Zachée attendait de le voir, caché dans les branches d’un arbre. Jésus n'eut pas besoin qu'on l’avertisse de la présence de Zachée dans l'arbre. C'est lui qui anticipa en levant les yeux, puis avec un regard plein de compassion et d'amour invita Zachée à descendre. Il faut dire que les gens de Jéricho n'aimaient pas beaucoup leur concitoyen à cause du travail qu'il faisait. Mais Jésus est venu pour tous, pour les bons comme pour les méchants, pour ceux qu'on aime, comme pour ceux qu'on n’aime pas. Aucune ville, aucun quartier, aucune cité n'est à exclure de la bonté de Jésus. Dans ces temps orageux que nous traversons, à cause de la conjoncture économique, de la précarité de l'emploi, de la fragilité de la cellule familiale, des problèmes de violences et autres difficultés plus personnelles, jésus s'invite à notre beau quartier de l'Ariane. Il vient vers nous pour nous guérir, pour nous encourager, pour nous montrer le chemin du vrai bonheur. Avec beaucoup d'insistance d'amour, il invite chaque femme, chaque homme, chaque enfant d’ici, à descendre de son arbre. L'arbre des raisonnements, l'arbre de la suffisance, l'arbre de la peur. Il veut nous rencontrer en tête à tête, afin de nous faire connaître, le chemin, la vérité et  la vie. Il n'y a aucun risque à lui faire confiance, parce que son amour pour nous, l'a conduit à mourir sur une croix comme un quelconque malfaiteur. Lui, qui pourtant, fut le plus excellent des messagers de Dieu. Qu'attendons-nous chers amis ? Allons vers lui, apportons-lui nos maux et nos souffrances, et prenons son repos sa paix et sa joie. Soyez tous bénis dans le nom de Jésus.
Evangile Luc 19 : 1-10

lundi 18 octobre 2010

DECOUVRIR LA GRACE DE DIEU !

La grâce de Dieu s’est révélée, la grâce de Dieu a été manifestée à travers la venue de Jésus-Christ parmi les hommes. Cette vérité nous amène à ne pas avoir peur de Dieu, à ne plus le considérer comme un juge qui nous condamne ou nous prive de liberté, mais plutôt comme un Père aimant, rempli de miséricorde et de compassion à l’égard de ses enfants. Ce que Dieu veut, c’est que chaque être humain vive dans la foi en son amour, dans la vérité, dans la paix et dans une entière espérance en son efficace secours. C’est pour cette raison qu’il nous tend la main à travers le don de sa grâce. Par elle, il nous invite à nous réconcilier avec lui en acceptant de renoncer au péché. Nous devons savoir que le sacrifice de Jésus sur la croix est le seul remède contre le péché ; lui seul peut nous en libérer, pourvu que nous lui en fassions la demande. Les convoitises terrestres, la course aux plaisirs, sont la ruine des hommes. Mais vivre dans l’obéissance à Jésus nous rend nobles et beaux aux yeux du Créateur. Par sa grâce, Dieu nous appelle aussi à puiser dans ses provisions afin de satisfaire toutes les attentes de notre vie. Notre corps a des besoins ; notre âme et notre esprit en ont bien davantage. Une relation vivante avec le Christ peut les combler, plutôt qu’une religion pratiquée pour se donner bonne conscience. La grâce de Dieu nous conduit également à espérer au milieu d’un monde qui a perdu espoir. Dieu est vivant, il est vrai ; quiconque s’approche de lui est abondamment, pleinement rétribué car notre Dieu est riche pour ceux qui l’invoquent. Nous vous invitons à faire l’expérience de la grâce de Dieu ; ne laissez aucune influence humaine vous priver du bonheur que Jésus vient vous donner, réfléchissez très sérieusement à l’appel de l’évangile et convertissez-vous. Nous formons le vœu que dans vos cœurs, se lève un printemps de paix, de joie et de bonheur, dans le précieux nom de Jésus.

samedi 2 octobre 2010

L’AGNEAU QUI ÔTE LE PÉCHÉ !

Lorsque Jésus arrive dans la région de Béthanie (Jean 1 : 28), il y a une foule de personnes venues écouter les sermons de Jean-Baptiste. Ces gens sont tellement convaincus par le ministère de ce grand prophète qu’ils ne font aucun cas de la présence de Jésus au milieu d’eux. Ils ne le connaissent pas. Ils ne discernent pas sa puissance. Il est permis de croire que s’il se présentait lui-même à eux comme le Messie, le Sauveur du monde, ils l’auraient radicalement rejeté. Fort heureusement, Jean-Baptiste reçut dans son cœur la conviction que Jésus était l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. Il le fit connaitre à cette foule en quête de vérité, et quelques-uns, se laissant persuader, suivirent Jésus.
            Aujourd’hui, tant de religions, tant de traditions, tant d’opinions occupent le cœur des hommes, les rendant imperméables à l’amour de Jésus. Cher ami qui lisez ces lignes, ne continuez pas à combattre contre Jésus ; mais plutôt, voyez-le venir à vous, et reconnaissez-le comme l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde. C’est là d’ailleurs toute la signification de la Pâque que les chrétiens ont célébrée il y a quelques jours. Croire en Jésus, c’est entrer dans l’alliance que Dieu fait avec les hommes par le moyen du sacrifice de l’Agneau :
· Le sang de l’Agneau nous purifie de tout péché, nous rend justes devant Dieu et nous fait devenir ses enfants.
· Les blessures de l’Agneau nous guérissent de toutes maladies et infirmités.
· La lumière de l’Agneau éclaire notre cœur et nous conduit dans toute la vérité. Ainsi, nous ne marchons plus dans les ténèbres, nous n’avons plus peur.
· La puissance et l’amour de l’Agneau gardent nos vies et pourvoient quotidiennement à tous nos besoins.
· Puis, lorsque, par la mort, nous aurons quitté ce monde, nous participerons au grand festin des noces de l’Agneau.
            Comme Jean-Baptiste, accueillez-le aujourd’hui, et il vous donnera un bonheur éternel.