Eglise évangélique des Assemblées de Dieu - 2 avenue des Eglantines 06300 Nice
lundi 29 décembre 2014
lundi 22 décembre 2014
Que faire avec le père Noël ?
Quand j’étais enfant, je croyais au père Noël. Mon mari aussi.
Cela ne nous a pas traumatisés. Nous ne nous sommes pas détournés du Seigneur et nous n’en avons pas voulu à nos parents de nous avoir caché la vérité. Avant d’avoir des enfants nous pensions faire la même chose avec eux. Nous voulions que Noël soit une période aussi merveilleuse pour eux qu’elle l’avait été pour nous. Mais lorsque nous avons eu des enfants, nous avons changé d’avis.
Pas question de les laisser croire au père Noël.
Je dois tout d’abord préciser que je suis la première à vouloir stimuler l’imagination de mes enfants. Ils passent leur temps à courir dans la maison en se prenant pour des pirates, des super-héros ou des animaux exotiques. Et j’adore ça.
Je veux aussi souligner que lorsque je parle du père Noël dans ce post, je pense plus particulièrement au fait de croire au père Noël. Je ne dis pas qu’il faut le bannir entièrement de notre vie. Mon mari porte un bonnet de père Noël tout en cuisinant. Quand mes enfants reprennent les chants de Noël qui passent à la radio, ils ne sautent pas les mots « père Noël » et ne les considèrent pas comme des gros mots.
Mais nous avons décidé de dire clairement à nos enfants que le père Noël n’existait pas.
Il y a quatre raisons pour lesquelles notre famille a pris cette décision.
1. Le père Noël encourage le salut par les œuvres
Cela peut paraître sévère, mais gardez à l’esprit que le cœur de l’Évangile est que notre péché a été remplacé par la justice du Christ. C’est un concept difficile à enseigner parce que les enfants sont légalistes par nature. Il faut beaucoup de temps, de prières et de conversations sérieuses pour les aider à comprendre que Dieu ne nous aime pas à cause de nos bonnes œuvres, mais grâce à celles du Christ.
C’est alors qu’arrive le père Noël.
Il est jovial, brillant et il promet des cadeaux aux enfants qui sont sages. Un de mes fils en particulier est très sensible aux dégâts que cela peut causer. Il serait très stressé si Noël reposait sur ses bonnes actions. Chaque fois qu’il rate quelque chose il a tendance à s’appliquer et à redoubler d’efforts pour rattraper le coup. J’ai déjà suffisamment de mal à lui faire comprendre que le pardon du Christ est gratuit et qu’il n’a pas à le mériter, sans que le père Noël vienne compliquer les choses.
2. Le père Noël brouille les lignes entre la réalité et l’imaginaire
Les moments où les enfants grimpent sur nos genoux pour écouter une histoire biblique sont très précieux. Nous parlons de la vie parfaite de Jésus et de sa mort pour nos péchés. Nous parlons de la puissance de Dieu qui a créé le monde, ouvert la mer Rouge et fermé la gueule des lions. Ils écoutent attentivement.
Et ils nous croient.
Parfois mon cœur fond quand je vois leurs yeux grands ouverts et leurs visages innocents, et je me dis : « Ils me font confiance. Je veux vraiment les conduire dans la vérité. » Si mon mari et moi mêlons le père Noël à ces histoires vraies, que penseront-ils plus tard quand ils découvriront que le père Noël n’existe pas. Que penseront-ils de l’arche de Noé ? des dix plaies d’Égypte ? de ce Jésus qui ressemble à un magicien religieux ? Nous voulons qu’ils puissent clairement distinguer la réalité de la fiction. Il ne faut surtout pas qu’ils pensent que les personnages bibliques peuvent voyager entre les deux.
3. Le père Noël est une sorte de dieu
Peut-être cette affirmation vous surprend-elle ? Mais réfléchissez. Il est omnipotent, c’est-à-dire tout-puissant – il fait des jouets, conduit un traîneau volant, passe par les cheminées. Il est omniprésent, c’est-à-dire partout à la fois – sinon comment pourrait-il distribuer les cadeaux ? Il est omniscient, c’est-à-dire qu’il sait tout – il sait qui est sage et qui ne l’est pas. Il est éternel. Il est parfait. Il est tout cela à la fois. Je ne connais pas d’autre créature mythique qui manifeste autant de caractéristiques réservées à Dieu. Quand je décris Dieu à mes enfants, je ne veux pas qu’ils pensent : « Ah oui, c’est un peu comme le père Noël. » Dieu ne ressemble à personne. Nous voulons que cela soit clair pour nos enfants.
4. C’est difficile de rivaliser avec le père Noël
Certains parents appellent le mythe du père Noël un mensonge alors que d’autres l’appellent une fiction. J’appelle ça une énorme distraction. Mon fils de cinq ans me pose tout le temps des questions au sujet de Dieu : « C’est quoi un esprit ? Si Dieu n’a pas de cœur, comment peut-il aimer les gens ? S’il n’y a qu’un seul Dieu, pourquoi appelons-nous Jésus Dieu ? » Ce ne sont pas des questions faciles ! Si je disais à mon fils que le père Noël existe, il me poserait le même genre de questions. Des centaines. Est-ce que je veux vraiment prendre le temps de satisfaire la curiosité légitime de mon fils en lui apportant des réponses qui ne sont même pas vraies ? Est-ce que je veux que le père Noël soit au centre de toutes nos conversations ?
Alors que faire avec le père Noël ? Où que nous allions en période de fêtes, nous ne pouvons échapper à sa présence. Et nous ne le voulons pas. Nous traitons le père Noël comme tout autre sujet. Nous expliquons qui il est. Nous en profitons pour apprendre à nos enfants à réfléchir. Nous ne voulons pas qu’ils aient peur du père Noël, ni qu’ils le fuient, ni qu’ils se débrouillent pour trouver les réponses que nous ne leur aurions pas apportées. Nous en parlons ouvertement avec eux.
Quand nous voyons le père Noël faire sonner une cloche devant un magasin, mes enfants sourient et disent : « Joyeux Noël, père Noël ! » Mais ils ne croient pas qu’il existe. Il ne les observe pas pendant leur sommeil et ne comptabilise pas leurs bonnes actions. Pour eux, c’est comme s’ils voyaient quelqu’un déguisé en Batman.
Et ils passent un très bon Noël.
- Source : GospelCenteredMom.blogspot.com
lundi 15 décembre 2014
Le jour du Seigneur vient
Ils n'arrivent jamais jusqu'à Jésus parce qu'ils se perdent dans la religion.
Ils disaient : “Je veux retrouver ma dignité. Je veux pouvoir retourner à la synagogue et étudier ce qui concerne le Messie qui doit venir !”
lundi 8 décembre 2014
Le jour du Seigneur vient
“les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs , leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre” (Apocalypse 21: 8)
Des millions de personnes aujourd'hui sont intimement persuadées qu'elles prendront part à un nouvel ordre mondial.
Ils croient que bientôt, ils vont finalement connaître la paix et être comblés.
Ils croient que toute culpabilité, crainte et condamnation vont s'évanouir, que le péché ne les hantera plus, qu'ils pourront s'adonner librement à l'homosexualité, à la fornication, sans condamnation, maladie ou rétribution.
Ils affirment les uns aux autres “assez de la religion qui parle d'une nouvelle naissance ! Assez de toute la condamnation qui fait que les gens se sentent mal à l'aise vis-à-vis d'eux-mêmes.
Nous allons avoir un monde nouveau où nous pourrons faire tout ce qui nous fera plaisir. Personne ne nous ennuiera ou ne nous agacera.”
Là, le mensonge sera mis à nu, dans une fournaise de feux éternels.
Soudain, les damnés crieront “J'ai été trompé ! Le Nouvel Age dont j'étais convaincu de la venue est en réalité un enfer éternel !” Et l'horreur de cette tromperie continuera de croître tout au long de l'éternité.
Ils embrassent les faux évangiles du Nouvel Age : la scientologie, le satanisme, le vaudou, l'astrologie, et toute sortes de religions démoniaques venant de l'est. Ils sont aveugles, trompés - ils croient un mensonge !
Il dit que le monde actuel se dissoudra ; il est réservé pour une fournaise ardente que Dieu lui-même apportera. En effet, le Seigneur va déverser le feu qu'Il a réservé pour la purification des cieux et de la terre :
David Wilkerson
lundi 1 décembre 2014
DIEU EST A L’OEUVRE
Il connaît le moment exact où Christ reviendra.
La Grande Tribulation finale, le Jugement, et la bataille d'Armageddon sont tous sur Son calendrier.;
Le Dieu qui contrôle les cieux et la terre a dit :
« Voici, les nations sont comme une goutte d'un seau, Elles sont comme de la poussière sur une balance; Voici, les iles sont comme une fine poussière qui s'envole. Le Liban ne suffit pas pour le feu, Et ses animaux ne suffisent pas pour l'holocauste. Toutes les nations sont devant lui comme un rien, Elles ne sont pour lui que néant et vanité » (Esaïe 40 : 15 et 17).;
Dieu veut que nous continuions à travailler jusqu'au retour de Christ. Cela signifie simplement que nous devons travailler comme si la fin ne devait jamais venir et que nous devons vivre comme si elle venait demain.;
Dieu continue de compter les cheveux sur nos têtes. Il compte toujours les moineaux qui tombent à terre, Il entend encore nos demandes avant même que nous les prononcions et Il répond encore avant même d'être appelé. Il donne encore abondamment, plus que ce que nous pouvons lui demander ou penser. Alors pourquoi craindre ?
(voir Matthieu 6 : 25-34)
Chrétiens préparés, réveillez-vous !
Tout est sous contrôle et Dieu est à l'œuvre !
Il sauve, Il guérit, Il baptise de l'Esprit et Il met de l'ordre dans Sa maison.
Craindre, c'est blasphémer. Il nous ordonne de nous encourager les uns les autres dans le Seigneur et de commencer à chanter et à nous réjouir alors que nous voyons la dernière heure approcher.
Quelqu'un pourrait demander : « Mais comment pourrais-je me réjouir quand je vois s'effondrer ce vieux monde voué au péché ? »
Ma réponse est la même que celle de la Bible :
« Or, nous savons que, jusqu'à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l'enfantement. Et ce n'est pas elle seulement ; mais nous aussi, qui avons les prémices de l'Esprit, nous aussi nous soupirons en nous-memes, en attendant l'adoption, la rédemption de notre corps.»
(Romains 8 : 22-23).; Une femme en plein travail peut crier à cause de la douleur, mais dans son cœur elle se réjouit de la nouvelle naissance qui se produit.
Le royaume de Dieu vient. Le royaume de Satan est en train de tomber.
C'est pourquoi le chrétien peut dire avec confiance : “Dieu a toutes choses sous contrôle ! »
samedi 29 novembre 2014
lundi 24 novembre 2014
La Dévotion: Le Coeur de la Prière
La dévotion est un état d'esprit qui se trouve chez quelqu'un d'entièrement consacré à Dieu. C'est un esprit de révérence, d'émerveillement, de crainte de Dieu. C'est un état de cœur qui se manifeste devant Dieu dans la prière et l'adoration, qui est opposé à tout ce qui ressemble à la légèreté d'esprit, la plaisanterie mondaine, le bruit et la fanfaronnade. La dévotion a sa demeure dans le royaume du calme; elle se tait devant Dieu. Elle est sérieuse, pensive, méditative. La dévotion appartient à la vie intérieure, elle habite "en cachette", mais apparaît aussi dans les réunions publiques du sanctuaire. Elle fait partie de l'esprit même de la véritable adoration, et relève de l'essence même de l'esprit de prière.
La dévotion appartient à l'homme dévot, pieux, dont les pensées et les sentiments sont consacrés à Dieu. Un tel homme a abandonné son esprit entièrement à la vie chrétienne, il possède une profonde affection pour Dieu et un amour ardent pour Sa maison. Corneille était un homme "pieux et craignait Dieu, avec toute sa maison; il faisait beaucoup d'aumônes au peuple, et priait Dieu continuellement". "Des hommes pieux ensevelirent Etienne." "Un homme nommé Ananias, homme pieux selon la loi" (Actes 22:12) était envoyé vers Saül pendant son état de cécité, pour lui dire ce que le Seigneur voulait qu'il fasse. Dieu peut se servir des hommes de cette qualité de façon merveilleuse, car les hommes pieux sont des agents de choix pour faire avancer Ses plans.
La prière développe l'esprit de dévotion, tandis que la dévotion favorise les meilleures prières. La dévotion fait progresser la prière et aide à conduire la prière droit vers le but qu'elle recherche. La prière s'épanouit dans une atmosphère de véritable dévotion. Il est facile de prier lorsque nous sommes dans un esprit de dévotion. L'attitude de notre intellect et l'état du cœur requis par la dévotion rendent la prière efficace, pour qu'elle atteigne le trône de la grâce. Dieu a Sa demeure là où réside l'esprit de dévotion.
Toutes les grâces de l'Esprit sont nourries et poussent vigoureusement dans l'environnement créé par la dévotion. En effet, ces grâces ne poussent nulle part ailleurs. L'absence de l'esprit de dévotion entraîne la mort de ces grâces, nées dans un cœur renouvelé. La véritable adoration se plaît dans une atmosphère créée par un esprit de dévotion. Certes la prière est favorable à la dévotion, mais en même temps la dévotion rebondit sur la prière et nous aide à prier. La dévotion engage le cœur dans la prière. Il n'est pas tâche facile pour les lèvres de prier alors que le cœur est absent. Le reproche que Dieu faisait à Son peuple Israël dans les temps anciens était qu'ils L'honoraient de la bouche et des lèvres, mais que son cœur était éloigné de Lui.
L'essence même de la prière, c'est l'esprit de dévotion. Sans la dévotion, la prière n'est qu'une coquille vide, des paroles en l'air. Il est triste de constater que cette forme de prière est très courante dans nos églises aujourd'hui. Nous vivons dans une ère toujours pressée, affairée, active, et c'est esprit d'agitation a envahi l'Eglise de Dieu. Ses prouesses religieuses sont nombreuses. L'Eglise travaille la religion avec l'ordre, la précision et la force d'une vraie machine. Mais trop souvent elle travaille avec le même manque de cœur qu'une machine. Il y a de ce mouvement de manège dans notre routine incessante d'activités religieuses. Nous prions sans prier. Nous chantons sans chanter selon l'Esprit. Nous avons de la musique sans que les louanges de Dieu y soient présentes. Nous fréquentons l'église à force d'habitude, et nous sommes très contents de revenir chez nous lorsque la bénédiction finale est prononcée. Nous lisons notre chapitre habituel dans la Bible, et nous nous sentons plutôt soulagés lorsque la tâche est accomplie. Nous prions machinalement comme un ouvrier qui récite sa leçon par cœur, et nous ne sommes pas chagrinés lorsque le dernier "amen" est prononcé. Le christianisme touche tout, sauf nos cœurs. Il engage nos mains et nos pieds, il s'empare de nos voix, il empoigne notre argent, il touche même notre posture corporelle, mais il ne s'empare pas de nos affections, de nos désirs, de notre zèle, pour nous rendre sérieux, éperdument fervents, pour nous faire taire et devenir des adorateurs dans la présence de Dieu.
Pourquoi donc tous ces tristes défauts dans notre piété? Pourquoi cette perversion moderne de la vraie nature de la religion de Jésus-Christ? Pourquoi le genre moderne du christianisme ressemble-t-il tellement à un coffret à bijoux sans les bijoux à l'intérieur? La grande défaillance de l'Eglise moderne, c'est l'absence de l'esprit de dévotion. Nous entendons des sermons dans le même état d'esprit que nous écoutons un cours magistral ou un discours. Nous nous rendons à la maison de Dieu comme si ce n'était qu'un lieu ordinaire, au même niveau que le théâtre, la salle de cours à la convention. Nous manipulons les choses sacrées comme s'il s'agissait des choses du monde. Il faut que nous mettions l'esprit de dévotion dans les affaires du lundi, aussi bien que dans la louange du dimanche. Il nous faut l'esprit de dévotion pour nous rappeler la présence de Dieu, pour faire continuellement la volonté de Dieu, pour diriger toutes choses toujours vers la gloire de Dieu.
L'esprit de dévotion met Dieu dans toutes choses. Il met Dieu non simplement dans ses prières et dans sa fréquentation de l'Eglise, mais dans toutes les occupations de la vie. "Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu" (1 Corinthiens 10:31). L'esprit de dévotion rend les choses ordinaires de ce monde sacrées, et les petites choses, grandes. Par cet esprit de dévotion, nous allons au travail le lundi dirigés par cette même influence et inspirés par ces mêmes influences qui nous ont poussés à fréquenter l'église le dimanche. L'esprit de dévotion transforme le samedi en sabbat, et le magasin ou le bureau deviennent le temple de Dieu.
L'esprit de dévotion empêche le christianisme d'être simplement un mince vernis et le met dans la moelle et dans l'essence même de notre âme. Notre religion cesse d'être simplement un travail, elle devient un cœur qui envoie son sang nourrissant à travers chaque artère, qui bat selon les pulsations d'une vie énergique et radieuse. Toute l'ardeur de la dévotion se trouve dans la prière. Dans le quatrième chapitre de l'Apocalypse, au verset huit, nous lisons: "Ils ne cessent de dire jour et nuit: Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu, le Tout-Puissant, qui était, qui est et qui vient!" L'inspiration et le centre de leur dévotion pleine d'extase sont la sainteté de Dieu. Cette sainteté de Dieu réclame leur attention, elle embrase leur dévotion. Il n'y a rien de froid, de morne, de lassant chez eux, ni dans leur adoration céleste. "Ils ne cessent… jour et nuit": quel zèle! Quelle ardeur infatigable, quel ravissement perpétuel! Le ministère de la prière, s'il est digne de ce nom, est un ministère d'ardeur, c'est un ministère d'une envie intense et inlassable de Dieu et de Sa sainteté.
Cet esprit de la dévotion remplit entièrement les saints au ciel, et caractérise l'adoration des intelligences célestes, les anges. Aucune créature dépourvue de l'esprit de dévotion n'existe là-haut dans le monde céleste. Dieu est là, et Sa présence même engendre l'esprit de révérence, de crainte émerveillée, et de la peur véritable. Si nous souhaitons réellement y participer avec eux après la mort, nous devons d'abord apprendre cet esprit de dévotion ici-bas, avant d'arriver là-haut. Ces êtres vivants, de par leur attitude inlassable, infatigable marquée par la soif de Dieu, symbolisent et manifestent parfaitement la véritable prière et son ardeur. La prière doit être enflammée. Son ardeur doit consumer. La prière sans ardeur est comme le soleil sans lumière ni chaleur, ou comme une fleur sans beauté ni flagrance. Une âme consacrée à Dieu est une âme fervente, et la prière est la manifestation de cette flamme. Celui-là seul qui est tout enflammé pour la sainteté, pour Dieu, et pour le ciel, peut vraiment prier.
L'activité n'équivaut pas à la force. Le travail n'équivaut pas au zèle. L'activisme est souvent le symptôme reconnu de la faiblesse spirituelle: il peut nuire à la piété lorsqu'il se substitue à la véritable dévotion dans notre adoration. Le poulain est beaucoup plus actif que sa mère, mais c'est elle qui porte le plus gros du poids, tirant la charge sans bruit ni fanfaronnade ni vantardise. L'enfant est plus actif que son père, qui lui porte peut-être la gouvernance et les fardeaux de tout un empire sur ses épaules et dans son cœur. L'enthousiasme est plus actif que la foi, alors que l'enthousiasme n'est pas capable de déplacer des montagnes, ni d'invoquer aucune des forces omnipotentes que la foi peut commander.
L'activité se fait souvent au dépens des éléments plus solides, plus utiles, et généralement s'accompagne d'une négligence totale de la prière. Être trop occupé par les affaires de Dieu pour communier avec Dieu, être trop occupé par le travail de l'Eglise pour prendre le temps de parler avec Dieu de Son œuvre, voilà le chemin royal qui amène les gens à rétrograder; et nombreux sont ceux et celles qui, leur âme immortelle en souffrant, ont foulé ce chemin.
lundi 17 novembre 2014
Que signifie la parabole des dix vierges ?
Question d'un Internaute : "Comment devons-nous comprendre la parabole des dix vierges. Chaque détail a-t-il une valeur symbolique ?"
Les disciples de Jésus lui posent des questions sur son avènement et sur la fin du monde. Jésus parle des temps de la fin en précisant que seul le Père en connaît le programme exact :
" Pour ce qui est du jour et de l'heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul " ( Matt 24.36)
Et il propose la parabole des dix vierges ( Matt 25.1-13). Pour les Juifs, l'idée du Royaume de Dieu était liée à l'idée d'un festin.
Le point culminant des noces juives se situe lorsque l'épouse entre dans la maison de l'époux et devient membre de sa famille. Il en découle deux coutumes : Premièrement le festin a lieu dans la maison de l'époux (Cf. les noces de Cana, Jn 2.1-10). Deuxièmement, l'époux va chercher l'épouse en cortège, avec des lampes, de la musique et des chants, pour la ramener chez lui dans la salle de noces.
Les jeunes filles du village pouvaient se joindre au cortège et être admises au festin sans invitation particulière, à condition d'être revêtues d'habits de fête et d'avoir avec elles leurs lampes.
La parabole de Jésus met en scène deux groupes de jeunes filles qui viennent attendre le cortège quelque part entre les deux maisons. Elles apportent leurs lampes pour être admises dans le cortège illuminé. Comme la pile Wonder (qui ne s'use que si l'on s'en sert) n'était point encore inventée, leurs lampes se composaient d'un petit réservoir d'huile avec un bec, dans lequel trempait une mèche. Cinq d'entre elles sont insouciantes , "tête en l'air", folles dit le texte. Elles ne pensent qu'au plaisir d'être de la fête, et non à ce qui est exigé pour en être. Les cinq autres sont prévoyantes , sages dit le texte. Elles réfléchissent qu'il pourra y avoir une certaine attente.
Comme l'Époux tarde, toutes s'endorment. Les lampes brûlent, car il n'est pas facile à cette époque de se procurer du feu n'importe où.
L'époux arrive enfin. Les lampes doivent être apprêtées. Les sages ont eu la précaution d'apporter une réserve d'huile. Les folles doivent aller en acheter. Les vierges sages sont admises dans le cortège, mais les vierges folles le manquent. Quand elles reviennent et frappent à la porte fermée, il n'y a aucune raison pour qu'on leur ouvre : on ne les connaît pas, car elles n'ont pas participé au cortège.
La conclusion de Jésus est limpide : "Veillez puisque vous ne savez ni le jour ni l'heure." ( v. 13 ). Nous devons nous garder de la tentation de spiritualiser à outrance les paraboles de Jésus, en leur faisant dire plus que Jésus lui-même a voulu y mettre (Valeurs symboliques de la lampe, de l'huile, du sommeil, etc.).
Le souci de Jésus n'a pas été de nous dire que, par exemple, seulement 50 % des chrétiens seront enlevés, comme certains veulent nous le faire croire, mais de nous montrer l'importance de la préparation pour entrer dans le Royaume de Dieu.
N'oublions pas l'exhortation du prophète Amos :
"Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu" (Amos 4.12)
lundi 10 novembre 2014
UN REVEIL DE PURIFICATION
part, qui aurait une compréhension profonde de la Parole de Dieu.
Daniel a entendu de grandes choses de la part de Dieu mais :
"J'entendis, mais je ne compris pas" (Daniel 12:8).
Quoi qu'il en soit, il a vu l'avènement d'un jour où un Reste purifié, éprouvé et testé comprendrait ce que lui
ne pouvait comprendre ; il y aura une "compagnie des derniers temps", pleine de sagesse et de discernement des choses de Dieu.
"Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront"
(Daniel 12:10).
Esaïe a déploré l'aveuglement spirituel d'un Israël rétrograde.Il a dit :
"Ils chancellent en prophétisant, Ils vacillent en rendant la justice"(Esaïe 28:7).
Le peu de discernement qu'ils avaient avant a été détruit par leurs convoitises. Mais Esaïe a prophétisé au
sujet d'un jour où
"les sourds entendront les paroles du livre, et, délivrés de l'obscurité et des ténèbres, Les yeux des aveugles verront... Ils sanctifieront mon nom... Et ils craindront le Dieu d'Israël. Ceux dont l'esprit s'égarait acquerront de l'intelligence, Et ceux qui murmuraient recevront instruction" (Esaïe 29:18,23-24).
Je crois que le réveil des derniers temps à propos duquel tant de prédicateurs prêchent est un réveil de
purification.
Si l'oeuvre du Saint-Esprit est de convaincre le monde de péché, de justice et de jugement, alors il est
certain qu'un grand déversement du Saint-Esprit va provoquer de puissantes vagues de conviction, et une
église négligente et indulgente envers le péché va être secouée et obligée à faire face à ses péchés.
Pendant qu'une multitude de chrétiens pourchassent les signes et les miracles et se précipitent vers des
enseignants trompeurs qui prêchent le succès et la prospérité, Dieu appelle "un peuple du désert" qui est
consumé par une faim dévorante de plus de Christ.
En ce moment-même, une compagnie glorieuse est en marche !
Un jour, Dieu a commencé à remuer leur cœur et ils ont abandonné toute hypocrisie et toute honte.
Ils sont allés au cœur de la Parole de Dieu et y ont vu pour eux-mêmes quels sont Ses buts ultimes. Ils ont
revêtu le vêtement de la justice de Christ par la foi, se soumettant à l'autorité de Christ sur eux et ont
décidés de marcher même tout seuls si nécessaire, afin de Lui être pleinement obéissant.
Ils se sont donnés pour but d'entendre et de comprendre la volonté de Dieu.
Ils ont commencé à voir des choses dans l'Esprit et ont été rendus capables de comprendre que la fin de
toutes choses est proche.
Pour ces personnes, la Parole du Seigneur est venue !
"Christ revient !
Abandonnez tous vos péchés installés et portez votre attention sur les choses d'en haut !
Ne prenez pas part aux empires et aux rêves des hommes. Abandonnez toutes ces choses et sortez pour Le rencontrer."
Cette parole est proclamée haut et fort !
dimanche 9 novembre 2014
lundi 3 novembre 2014
Prière qui secoue l'enfer
une longue vie dans le ministère, Daniel avait quatre-vingts ans.
Daniel avait toujours été un homme de prière. Et maintenant, dans sa vieillesse, il n'avait aucune pensée
de ralentir. L'Écriture ne fait aucune mention de Daniel étant usé ou découragé. Au contraire, Daniel ne
faisait que commencer. L'Écriture montre que même alors que cet l'homme atteint quatre-vingt, ses prières
secouaient l'enfer, mettant en rage le diable.
Le roi Darius promut Daniel à la magistrature suprême dans le pays. Il était devenu l'un des trois
co-présidents, dirigeant les princes et les gouverneurs de 120 provinces. Darius favorisait Daniel par
rapport aux deux autres présidents, mettant Daniel en charge de former la politique du gouvernement et
enseignant toutes les personnes nommées pour le tribunal et les intellectuels. (Daniel 6:3)
De toute évidence, Daniel fut un prophète occupé. Je peux à peine imaginer toutes les pressions exercées
sur ce pasteur, avec son horaire chargé et des réunions prenant beacoup de temps. Rien, cependant,
pouvait enlever Daniel de ses moments de prière, il n'était jamais trop occupé pour prier. La prière restait
son occupation principale, prenant le pas sur toutes les autres demandes. Trois fois par jour, il se sépara
de toutes ses obligations, charges et exigences comme un dirigeant afin de passer du temps avec le
Seigneur. Il simplement se retira de toutes les activités et pria. Et Dieu lui répondit. Daniel reçut tous sa
sagesse, direction, messages et prophéties pendant qu'il était à genoux. (voir Daniel 6:10)
Vous vous demandez: Quelle est la prière qui secoue l'enfer?
Elle provient du serviteur fidèle, assidu, qui voit sa nation et son église tombant de plus en plus
profondément dans le péché. Cette personne tombe à genoux, criant: "Seigneur, je ne veux pas faire partie
de ce qui se passe. Permet-moi d'être un exemple de ta puissance qui subsiste au centre de cette époque
perverse. Cela n'a pas d'importance si personne d'autre ne prie. Je vais prier."
Trop occupé pour prier?
Est-ce que vous dites, "Je viens le prendre par la foi"?
Vous pensez peut-être vous-même, "Dieu connaît mon coeur, il sait à quel point je suis occupé.
Je lui donne des prières par ma pensée tout au long de la journée."
Je crois que le Seigneur veut des moments de qualité et sans hâte seul avec nous. La prière devient alors
un acte d'amour et de dévotion, et non pas seulement un moment de demandes.
David Wilkerson
lundi 27 octobre 2014
Le lieu secret
Dans le passé, j'ai pensé en raison des exigences de gagner sa vie, il se peut qu'on ait un "lieu secret pour la prière" n'importe où: dans la voiture, dans le bus, durant une pause au travail.
En partie, ceci est vrai. Mais il y a plus. Le mot grec pour "lieu" dans ce verset signifie "une chambre privée, un lieu secret."
Ceci était clair pour les auditeurs de Jésus, parce que les maisons dans leur culture avaient une chambre intérieure qui servait comme une sorte de placard.
L'ordre de Jésus était d'entrer dans ce lieu secret comme un individu et de fermer la porte derrière vous. Là vous entrerez dans un moment de prière qui ne peut se produire à l'église ou avec un partenaire.
Jésus donne l'exemple à cet égard, comme lui-même il va dans des lieux privés pour prier.
À plusieurs reprises l'Écriture nous dit qu'il "se met à l'écart" pour passer du temps à prier. Personne n'a eu une vie aussi occupée, comme il était constamment interrompu par les besoins de ceux qui étaient autour de lui, avec si peu de temps pour lui-même.
Pourtant, nous dit-on, "Vers le matin, pendant qu'il faisait encore très sombre, il se leva, et sortit pour aller dans un lieu désert, où il pria." (Marc 1/35) "Quand il l'eut renvoyée, il monta sur la montagne, pour prier à l'écart; et, comme le soir était venu, il était là seul." (Matthieu 14/23)
Nous avons tous des raisons pour lesquelles nous ne prions pas dans le secret, dans un endroit special tout seul. Nous disons que nous n'avons pas un tel lieu privé, ou pas le temps de le faire. Thomas Manton, Puritain et écrivain, nous dit ceci: «Nous disons que nous n'avons pas le temps de prier secrètement. Pourtant nous avons le temps pour toutes les autres choses: le temps de manger, de boire, le temps pour les enfants, mais par contre pas le temps pour ce qui soutient tout le reste. Nous disons que nous n'avons pas de lieu privé, mais Jésus a trouvé une montagne, Pierre un toit, les prophètes la nature sauvage. Si vous aimez quelqu'un, vous trouverez un endroit pour être seul."
Il s'agit de la bonté de Dieu envers nous.
Il voit ce que l'avenir nous reserve et sait que nous avons besoin d'énormes ressources, et d'un réapprovisionnement quotidien.
lundi 20 octobre 2014
LA GRACE EST CONTAGIEUSE par Nicky Cruz
LA GRACE EST CONTAGIEUSE
A Oslo, en Norvège, notre équipe pastorale a fait équipe avec une grande église Luthérienne. C'était une des rares églises qui étaient désireuses de nous aider. Leurs ados étaient profondément engagés avec le Seigneur, mais complètement pris au dépourvu pas nos méthodes d'évangélisation. Les chrétiens européens sont des gens tranquilles et humbles qui gardent le plus souvent leur foi pour eux-mêmes. L'idée de prêcher à un coin de rue, au milieu leur voisinage, les emmenait assez loin de leur zone de confort. Au début, ils n'ont pas voulu venir avec nous, mais après quelques semaines, on ne pouvait plus les arrêter. Ils ont acquis un feu dévorant pour l'évangélisation, une véritable obsession de l'âme.
Certains d'entre eux voyageaient en train deux ou trois heures chaque matin pour nous aider, puis retournaient à la maison tard le soir. Et ils n'en avaient jamais assez. Ils avaient soif d'en apprendre d'avantage sur les jeunes de notre église de New York. Lorsque nous leur avons dit que de nombre d'entre eux étaient d'anciens membres de gang et d'anciens drogués, ils ont eu du mal à nous croire. Ils étaient étonnés de voir ce que Jésus avait fait dans leur vie, et ce qu'Il faisait encore.
Mais ce qui les attiraient le plus était la compassion sincère que les ados nos jeunes avaient pour les autres. Quand quelqu'un souffrait, ils pleuraient avec, priaient avec et ils le soutenaient. Chaque matin débutait avec plusieurs heures de prière et d'adoration dans le bâtiment de leur église et les luthériens n'en avaient jamais assez. L'amour de nos jeunes entre eux et pour eux était au-delà de tout ce qu'ils avaient jamais expérimenté. Et ils ont vite fait de même avec enthousiasme. Ça s'est répandu comme un feu de forêt dans les cœurs de tous ceux qui travaillaient avec nous.
Quand notre mission a été terminée, les jeunes de Norvège ont eu du mal à nous laisser partir. Ils étaient devenus tellement attachés à notre groupe, tellement remplis d'amour pour nos jeunes qu'ils ont pleuré pendant des heures à l'aéroport avant que notre avion ne parte. Nos jeunes se sont fait des amis pour la vie pendant ce voyage et ont eu un impact indélébile sur ceux qu'ils ont laissé derrière.
C'est la beauté et la nature de la compassion. C'est une des émotions les plus attachantes et contagieuses des êtres humains. Elle ne peut pas être simulée et son impact ne peut pas être expliqué, pourtant il est tellement réel. Et tellement puissant !
Nicky Cruz
lundi 13 octobre 2014
Lorsque le Saint Esprit vient. Par David Wilkerson
Le prophète Ésaïe décrit ce qui se passe quand le Saint-Esprit tombe sur un peuple.
Esaïe prophétise,
"Jusqu'à ce que l'esprit soit répandu d'en haut sur nous, Et que le désert se change en verger, Et que le
verger soit considéré comme une forêt."
(Esaïe 32:15)
Esaïe dit: "Quand le Saint-Esprit vient, ce qui était une fois un désert stérile devient un champ de moisson.
Un parcelle de terre morte soudainement déborde de fruits. Et ceci n'est pas une récolte temporaire. Le
champ de fruits se développe en une forêt. Et vous serez en mesure de prendre des boutures de cette
forêt, année après année, et de développer votre fécondité continuellement. "
Ésaïe ajoute:
"Alors la droiture habitera dans le désert, et la justice aura sa demeure dans le verger."
(32:16). Selon le prophète, le Saint-Esprit apporte également avec lui un message de jugement contre le
péché. Et ce message crée une droiture dans le peuple.
Esaïe ne parle pas d'une effusion unique de l'Esprit, ce que certains pensent comme une "renaissance."
Esaïe décrit quelque chose qui dure. Des études menées par des sociologues chrétiens montrent que la
plupart des renaissances actuelles durent une moyenne de cinq ans, et laissent dans leur sillage beaucoup
de confusion et de dissensions. Je connais certaines églises où de soi-disantes renaissances ont eu lieu, et
maintenant, dans l'espace de quelques années, il n'y a aucune trace de l'Esprit. Ces églises sont mortes,
sèches et vides. Des bâtiments qui une fois tenaient 1000 sont à présent des tombes caverneuses, avec
seulement cinquante personnes présentes.
Esaïe continue:
"L'oeuvre de la justice sera la paix, et le fruit de la justice le repos et la sécurité pour toujours. Mon peuple
demeurera dans le séjour de la paix, dans des habitations sûres, dans des asiles tranquilles."
(Esaïe 32:17-18)
La paix arrive parce que la justice est à l'oeuvre. Le Saint-Esprit est occupé à éliminer toute agitation, tous
les troubles et toute condamnation. Ce qui suit est la paix d'esprit, la paix à la maison, et la paix dans la
maison de Dieu. Et quand le peuple de Dieu a la paix du Christ, ils ne sont pas facilement déplacés de
cela:
"Mais la forêt sera précipitée sous la grêle, Et la ville profondément abaissée. Heureux vous qui partout
semez le long des eaux, et qui laissez sans entraves le pied du boeuf et de l'âne!"
(32:19-20)
La prophétie d'Esaïe sur le Saint-Esprit était adressée à Israël pendant le règne de Uzziah. Pourtant, elle
s'applique également au peuple de Dieu aujourd'hui. Elle est connue comme une double prophétie. Le fait
est que chaque génération a besoin d'une effusion de l'Esprit Saint.
Et je crois que l'Eglise aujourd'hui n'a rien vu de comparable à ce que le Saint-Esprit veut accomplir.
David Wilkerson
lundi 6 octobre 2014
UN REVEIL DE PURIFICATION
Daniel a entendu de grandes choses de la part de Dieu mais :
“J'entendis, mais je ne compris pas” (Daniel 12:8).
Quoi qu'il en soit, il a vu l'avènement d'un jour où un Reste purifié, éprouvé et testé comprendrait ce que lui ne pouvait comprendre ; il y aura une “compagnie des derniers temps”, pleine de sagesse et de discernement des choses de Dieu.
“Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront”
(Daniel 12:10).
“Ils chancellent en prophétisant, Ils vacillent en rendant la justice”(Esaïe 28:7).
Le peu de discernement qu'ils avaient avant a été détruit par leurs convoitises. Mais Esaïe a prophétisé au sujet d'un jour où
“les sourds entendront les paroles du livre, et, délivrés de l'obscurité et des ténèbres, Les yeux des aveugles verront... Ils sanctifieront mon nom... Et ils craindront le Dieu d'Israël. Ceux dont l'esprit s'égarait acquerront de l'intelligence, Et ceux qui murmuraient recevront instruction” (Esaïe 29:18,23-24).
Si l'œuvre du Saint-Esprit est de convaincre le monde de péché, de justice et de jugement, alors il est certain qu'un grand déversement du Saint-Esprit va provoquer de puissantes vagues de conviction, et une église négligente et indulgente envers le péché va être secouée et obligée à faire face à ses péchés.
Un jour, Dieu a commencé à remuer leur cœur et ils ont abandonné toute hypocrisie et toute honte.
Ils sont allés au cœur de la Parole de Dieu et y ont vu pour eux-mêmes quels sont Ses buts ultimes. Ils ont revêtu le vêtement de la justice de Christ par la foi, se soumettant à l'autorité de Christ sur eux et ont décidés de marcher même tout seuls si nécessaire, afin de Lui être pleinement obéissant.
Ils se sont donnés pour but d'entendre et de comprendre la volonté de Dieu.
Ils ont commencé à voir des choses dans l'Esprit et ont été rendus capables de comprendre que la fin de toutes choses est proche.
Pour ces personnes, la Parole du Seigneur est venue !
Repentez-vous car le jour du Seigneur est proche !
Abandonnez tous vos péchés installés et portez votre attention sur les choses d'en haut !
Ne prenez pas part aux empires et aux rêves des hommes. Abandonnez toutes ces choses et sortez pour Le rencontrer.”
Cette parole est proclamée haut et fort !