Eglise évangélique des Assemblées de Dieu - 2 avenue des Eglantines 06300 Nice
lundi 29 décembre 2014
lundi 22 décembre 2014
Que faire avec le père Noël ?
Quand j’étais enfant, je croyais au père Noël. Mon mari aussi.
Cela ne nous a pas traumatisés. Nous ne nous sommes pas détournés du Seigneur et nous n’en avons pas voulu à nos parents de nous avoir caché la vérité. Avant d’avoir des enfants nous pensions faire la même chose avec eux. Nous voulions que Noël soit une période aussi merveilleuse pour eux qu’elle l’avait été pour nous. Mais lorsque nous avons eu des enfants, nous avons changé d’avis.
Pas question de les laisser croire au père Noël.
Je dois tout d’abord préciser que je suis la première à vouloir stimuler l’imagination de mes enfants. Ils passent leur temps à courir dans la maison en se prenant pour des pirates, des super-héros ou des animaux exotiques. Et j’adore ça.
Je veux aussi souligner que lorsque je parle du père Noël dans ce post, je pense plus particulièrement au fait de croire au père Noël. Je ne dis pas qu’il faut le bannir entièrement de notre vie. Mon mari porte un bonnet de père Noël tout en cuisinant. Quand mes enfants reprennent les chants de Noël qui passent à la radio, ils ne sautent pas les mots « père Noël » et ne les considèrent pas comme des gros mots.
Mais nous avons décidé de dire clairement à nos enfants que le père Noël n’existait pas.
Il y a quatre raisons pour lesquelles notre famille a pris cette décision.
1. Le père Noël encourage le salut par les œuvres
Cela peut paraître sévère, mais gardez à l’esprit que le cœur de l’Évangile est que notre péché a été remplacé par la justice du Christ. C’est un concept difficile à enseigner parce que les enfants sont légalistes par nature. Il faut beaucoup de temps, de prières et de conversations sérieuses pour les aider à comprendre que Dieu ne nous aime pas à cause de nos bonnes œuvres, mais grâce à celles du Christ.
C’est alors qu’arrive le père Noël.
Il est jovial, brillant et il promet des cadeaux aux enfants qui sont sages. Un de mes fils en particulier est très sensible aux dégâts que cela peut causer. Il serait très stressé si Noël reposait sur ses bonnes actions. Chaque fois qu’il rate quelque chose il a tendance à s’appliquer et à redoubler d’efforts pour rattraper le coup. J’ai déjà suffisamment de mal à lui faire comprendre que le pardon du Christ est gratuit et qu’il n’a pas à le mériter, sans que le père Noël vienne compliquer les choses.
2. Le père Noël brouille les lignes entre la réalité et l’imaginaire
Les moments où les enfants grimpent sur nos genoux pour écouter une histoire biblique sont très précieux. Nous parlons de la vie parfaite de Jésus et de sa mort pour nos péchés. Nous parlons de la puissance de Dieu qui a créé le monde, ouvert la mer Rouge et fermé la gueule des lions. Ils écoutent attentivement.
Et ils nous croient.
Parfois mon cœur fond quand je vois leurs yeux grands ouverts et leurs visages innocents, et je me dis : « Ils me font confiance. Je veux vraiment les conduire dans la vérité. » Si mon mari et moi mêlons le père Noël à ces histoires vraies, que penseront-ils plus tard quand ils découvriront que le père Noël n’existe pas. Que penseront-ils de l’arche de Noé ? des dix plaies d’Égypte ? de ce Jésus qui ressemble à un magicien religieux ? Nous voulons qu’ils puissent clairement distinguer la réalité de la fiction. Il ne faut surtout pas qu’ils pensent que les personnages bibliques peuvent voyager entre les deux.
3. Le père Noël est une sorte de dieu
Peut-être cette affirmation vous surprend-elle ? Mais réfléchissez. Il est omnipotent, c’est-à-dire tout-puissant – il fait des jouets, conduit un traîneau volant, passe par les cheminées. Il est omniprésent, c’est-à-dire partout à la fois – sinon comment pourrait-il distribuer les cadeaux ? Il est omniscient, c’est-à-dire qu’il sait tout – il sait qui est sage et qui ne l’est pas. Il est éternel. Il est parfait. Il est tout cela à la fois. Je ne connais pas d’autre créature mythique qui manifeste autant de caractéristiques réservées à Dieu. Quand je décris Dieu à mes enfants, je ne veux pas qu’ils pensent : « Ah oui, c’est un peu comme le père Noël. » Dieu ne ressemble à personne. Nous voulons que cela soit clair pour nos enfants.
4. C’est difficile de rivaliser avec le père Noël
Certains parents appellent le mythe du père Noël un mensonge alors que d’autres l’appellent une fiction. J’appelle ça une énorme distraction. Mon fils de cinq ans me pose tout le temps des questions au sujet de Dieu : « C’est quoi un esprit ? Si Dieu n’a pas de cœur, comment peut-il aimer les gens ? S’il n’y a qu’un seul Dieu, pourquoi appelons-nous Jésus Dieu ? » Ce ne sont pas des questions faciles ! Si je disais à mon fils que le père Noël existe, il me poserait le même genre de questions. Des centaines. Est-ce que je veux vraiment prendre le temps de satisfaire la curiosité légitime de mon fils en lui apportant des réponses qui ne sont même pas vraies ? Est-ce que je veux que le père Noël soit au centre de toutes nos conversations ?
Alors que faire avec le père Noël ? Où que nous allions en période de fêtes, nous ne pouvons échapper à sa présence. Et nous ne le voulons pas. Nous traitons le père Noël comme tout autre sujet. Nous expliquons qui il est. Nous en profitons pour apprendre à nos enfants à réfléchir. Nous ne voulons pas qu’ils aient peur du père Noël, ni qu’ils le fuient, ni qu’ils se débrouillent pour trouver les réponses que nous ne leur aurions pas apportées. Nous en parlons ouvertement avec eux.
Quand nous voyons le père Noël faire sonner une cloche devant un magasin, mes enfants sourient et disent : « Joyeux Noël, père Noël ! » Mais ils ne croient pas qu’il existe. Il ne les observe pas pendant leur sommeil et ne comptabilise pas leurs bonnes actions. Pour eux, c’est comme s’ils voyaient quelqu’un déguisé en Batman.
Et ils passent un très bon Noël.
- Source : GospelCenteredMom.blogspot.com
lundi 15 décembre 2014
Le jour du Seigneur vient
Ils n'arrivent jamais jusqu'à Jésus parce qu'ils se perdent dans la religion.
Ils disaient : “Je veux retrouver ma dignité. Je veux pouvoir retourner à la synagogue et étudier ce qui concerne le Messie qui doit venir !”
lundi 8 décembre 2014
Le jour du Seigneur vient
“les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs , leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre” (Apocalypse 21: 8)
Des millions de personnes aujourd'hui sont intimement persuadées qu'elles prendront part à un nouvel ordre mondial.
Ils croient que bientôt, ils vont finalement connaître la paix et être comblés.
Ils croient que toute culpabilité, crainte et condamnation vont s'évanouir, que le péché ne les hantera plus, qu'ils pourront s'adonner librement à l'homosexualité, à la fornication, sans condamnation, maladie ou rétribution.
Ils affirment les uns aux autres “assez de la religion qui parle d'une nouvelle naissance ! Assez de toute la condamnation qui fait que les gens se sentent mal à l'aise vis-à-vis d'eux-mêmes.
Nous allons avoir un monde nouveau où nous pourrons faire tout ce qui nous fera plaisir. Personne ne nous ennuiera ou ne nous agacera.”
Là, le mensonge sera mis à nu, dans une fournaise de feux éternels.
Soudain, les damnés crieront “J'ai été trompé ! Le Nouvel Age dont j'étais convaincu de la venue est en réalité un enfer éternel !” Et l'horreur de cette tromperie continuera de croître tout au long de l'éternité.
Ils embrassent les faux évangiles du Nouvel Age : la scientologie, le satanisme, le vaudou, l'astrologie, et toute sortes de religions démoniaques venant de l'est. Ils sont aveugles, trompés - ils croient un mensonge !
Il dit que le monde actuel se dissoudra ; il est réservé pour une fournaise ardente que Dieu lui-même apportera. En effet, le Seigneur va déverser le feu qu'Il a réservé pour la purification des cieux et de la terre :
David Wilkerson
lundi 1 décembre 2014
DIEU EST A L’OEUVRE
Il connaît le moment exact où Christ reviendra.
La Grande Tribulation finale, le Jugement, et la bataille d'Armageddon sont tous sur Son calendrier.;
Le Dieu qui contrôle les cieux et la terre a dit :
« Voici, les nations sont comme une goutte d'un seau, Elles sont comme de la poussière sur une balance; Voici, les iles sont comme une fine poussière qui s'envole. Le Liban ne suffit pas pour le feu, Et ses animaux ne suffisent pas pour l'holocauste. Toutes les nations sont devant lui comme un rien, Elles ne sont pour lui que néant et vanité » (Esaïe 40 : 15 et 17).;
Dieu veut que nous continuions à travailler jusqu'au retour de Christ. Cela signifie simplement que nous devons travailler comme si la fin ne devait jamais venir et que nous devons vivre comme si elle venait demain.;
Dieu continue de compter les cheveux sur nos têtes. Il compte toujours les moineaux qui tombent à terre, Il entend encore nos demandes avant même que nous les prononcions et Il répond encore avant même d'être appelé. Il donne encore abondamment, plus que ce que nous pouvons lui demander ou penser. Alors pourquoi craindre ?
(voir Matthieu 6 : 25-34)
Chrétiens préparés, réveillez-vous !
Tout est sous contrôle et Dieu est à l'œuvre !
Il sauve, Il guérit, Il baptise de l'Esprit et Il met de l'ordre dans Sa maison.
Craindre, c'est blasphémer. Il nous ordonne de nous encourager les uns les autres dans le Seigneur et de commencer à chanter et à nous réjouir alors que nous voyons la dernière heure approcher.
Quelqu'un pourrait demander : « Mais comment pourrais-je me réjouir quand je vois s'effondrer ce vieux monde voué au péché ? »
Ma réponse est la même que celle de la Bible :
« Or, nous savons que, jusqu'à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l'enfantement. Et ce n'est pas elle seulement ; mais nous aussi, qui avons les prémices de l'Esprit, nous aussi nous soupirons en nous-memes, en attendant l'adoption, la rédemption de notre corps.»
(Romains 8 : 22-23).; Une femme en plein travail peut crier à cause de la douleur, mais dans son cœur elle se réjouit de la nouvelle naissance qui se produit.
Le royaume de Dieu vient. Le royaume de Satan est en train de tomber.
C'est pourquoi le chrétien peut dire avec confiance : “Dieu a toutes choses sous contrôle ! »