lundi 24 novembre 2014

La Piété

Prédication audio 
Philippe ROIG:



La Dévotion: Le Coeur de la Prière

ar E.M. Bounds
La dévotion est un état d'esprit qui se trouve chez quelqu'un d'entièrement consacré à Dieu. C'est un esprit de révérence, d'émerveillement, de crainte de Dieu. C'est un état de cœur qui se manifeste devant Dieu dans la prière et l'adoration, qui est opposé à tout ce qui ressemble à la légèreté d'esprit, la plaisanterie mondaine, le bruit et la fanfaronnade. La dévotion a sa demeure dans le royaume du calme; elle se tait devant Dieu. Elle est sérieuse, pensive, méditative. La dévotion appartient à la vie intérieure, elle habite "en cachette", mais apparaît aussi dans les réunions publiques du sanctuaire. Elle fait partie de l'esprit même de la véritable adoration, et relève de l'essence même de l'esprit de prière.

La dévotion appartient à l'homme dévot, pieux, dont les pensées et les sentiments sont consacrés à Dieu. Un tel homme a abandonné son esprit entièrement à la vie chrétienne, il possède une profonde affection pour Dieu et un amour ardent pour Sa maison. Corneille était un homme "pieux et craignait Dieu, avec toute sa maison; il faisait beaucoup d'aumônes au peuple, et priait Dieu continuellement". "Des hommes pieux ensevelirent Etienne." "Un homme nommé Ananias, homme pieux selon la loi" (Actes 22:12) était envoyé vers Saül pendant son état de cécité, pour lui dire ce que le Seigneur voulait qu'il fasse. Dieu peut se servir des hommes de cette qualité de façon merveilleuse, car les hommes pieux sont des agents de choix pour faire avancer Ses plans.

La prière développe l'esprit de dévotion, tandis que la dévotion favorise les meilleures prières. La dévotion fait progresser la prière et aide à conduire la prière droit vers le but qu'elle recherche. La prière s'épanouit dans une atmosphère de véritable dévotion. Il est facile de prier lorsque nous sommes dans un esprit de dévotion. L'attitude de notre intellect et l'état du cœur requis par la dévotion rendent la prière efficace, pour qu'elle atteigne le trône de la grâce. Dieu a Sa demeure là où réside l'esprit de dévotion.

Toutes les grâces de l'Esprit sont nourries et poussent vigoureusement dans l'environnement créé par la dévotion. En effet, ces grâces ne poussent nulle part ailleurs. L'absence de l'esprit de dévotion entraîne la mort de ces grâces, nées dans un cœur renouvelé. La véritable adoration se plaît dans une atmosphère créée par un esprit de dévotion. Certes la prière est favorable à la dévotion, mais en même temps la dévotion rebondit sur la prière et nous aide à prier. La dévotion engage le cœur dans la prière. Il n'est pas tâche facile pour les lèvres de prier alors que le cœur est absent. Le reproche que Dieu faisait à Son peuple Israël dans les temps anciens était qu'ils L'honoraient de la bouche et des lèvres, mais que son cœur était éloigné de Lui.

L'essence même de la prière, c'est l'esprit de dévotion. Sans la dévotion, la prière n'est qu'une coquille vide, des paroles en l'air. Il est triste de constater que cette forme de prière est très courante dans nos églises aujourd'hui. Nous vivons dans une ère toujours pressée, affairée, active, et c'est esprit d'agitation a envahi l'Eglise de Dieu. Ses prouesses religieuses sont nombreuses. L'Eglise travaille la religion avec l'ordre, la précision et la force d'une vraie machine. Mais trop souvent elle travaille avec le même manque de cœur qu'une machine. Il y a de ce mouvement de manège dans notre routine incessante d'activités religieuses. Nous prions sans prier. Nous chantons sans chanter selon l'Esprit. Nous avons de la musique sans que les louanges de Dieu y soient présentes. Nous fréquentons l'église à force d'habitude, et nous sommes très contents de revenir chez nous lorsque la bénédiction finale est prononcée. Nous lisons notre chapitre habituel dans la Bible, et nous nous sentons plutôt soulagés lorsque la tâche est accomplie. Nous prions machinalement comme un ouvrier qui récite sa leçon par cœur, et nous ne sommes pas chagrinés lorsque le dernier "amen" est prononcé. Le christianisme touche tout, sauf nos cœurs. Il engage nos mains et nos pieds, il s'empare de nos voix, il empoigne notre argent, il touche même notre posture corporelle, mais il ne s'empare pas de nos affections, de nos désirs, de notre zèle, pour nous rendre sérieux, éperdument fervents, pour nous faire taire et devenir des adorateurs dans la présence de Dieu.

Pourquoi donc tous ces tristes défauts dans notre piété? Pourquoi cette perversion moderne de la vraie nature de la religion de Jésus-Christ? Pourquoi le genre moderne du christianisme ressemble-t-il tellement à un coffret à bijoux sans les bijoux à l'intérieur? La grande défaillance de l'Eglise moderne, c'est l'absence de l'esprit de dévotion. Nous entendons des sermons dans le même état d'esprit que nous écoutons un cours magistral ou un discours. Nous nous rendons à la maison de Dieu comme si ce n'était qu'un lieu ordinaire, au même niveau que le théâtre, la salle de cours à la convention. Nous manipulons les choses sacrées comme s'il s'agissait des choses du monde. Il faut que nous mettions l'esprit de dévotion dans les affaires du lundi, aussi bien que dans la louange du dimanche. Il nous faut l'esprit de dévotion pour nous rappeler la présence de Dieu, pour faire continuellement la volonté de Dieu, pour diriger toutes choses toujours vers la gloire de Dieu.

L'esprit de dévotion met Dieu dans toutes choses. Il met Dieu non simplement dans ses prières et dans sa fréquentation de l'Eglise, mais dans toutes les occupations de la vie. "Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu" (1 Corinthiens 10:31). L'esprit de dévotion rend les choses ordinaires de ce monde sacrées, et les petites choses, grandes. Par cet esprit de dévotion, nous allons au travail le lundi dirigés par cette même influence et inspirés par ces mêmes influences qui nous ont poussés à fréquenter l'église le dimanche. L'esprit de dévotion transforme le samedi en sabbat, et le magasin ou le bureau deviennent le temple de Dieu.

L'esprit de dévotion empêche le christianisme d'être simplement un mince vernis et le met dans la moelle et dans l'essence même de notre âme. Notre religion cesse d'être simplement un travail, elle devient un cœur qui envoie son sang nourrissant à travers chaque artère, qui bat selon les pulsations d'une vie énergique et radieuse. Toute l'ardeur de la dévotion se trouve dans la prière. Dans le quatrième chapitre de l'Apocalypse, au verset huit, nous lisons: "Ils ne cessent de dire jour et nuit: Saint, saint, saint est le Seigneur Dieu, le Tout-Puissant, qui était, qui est et qui vient!" L'inspiration et le centre de leur dévotion pleine d'extase sont la sainteté de Dieu. Cette sainteté de Dieu réclame leur attention, elle embrase leur dévotion. Il n'y a rien de froid, de morne, de lassant chez eux, ni dans leur adoration céleste. "Ils ne cessent… jour et nuit": quel zèle! Quelle ardeur infatigable, quel ravissement perpétuel! Le ministère de la prière, s'il est digne de ce nom, est un ministère d'ardeur, c'est un ministère d'une envie intense et inlassable de Dieu et de Sa sainteté.

Cet esprit de la dévotion remplit entièrement les saints au ciel, et caractérise l'adoration des intelligences célestes, les anges. Aucune créature dépourvue de l'esprit de dévotion n'existe là-haut dans le monde céleste. Dieu est là, et Sa présence même engendre l'esprit de révérence, de crainte émerveillée, et de la peur véritable. Si nous souhaitons réellement y participer avec eux après la mort, nous devons d'abord apprendre cet esprit de dévotion ici-bas, avant d'arriver là-haut. Ces êtres vivants, de par leur attitude inlassable, infatigable marquée par la soif de Dieu, symbolisent et manifestent parfaitement la véritable prière et son ardeur. La prière doit être enflammée. Son ardeur doit consumer. La prière sans ardeur est comme le soleil sans lumière ni chaleur, ou comme une fleur sans beauté ni flagrance. Une âme consacrée à Dieu est une âme fervente, et la prière est la manifestation de cette flamme. Celui-là seul qui est tout enflammé pour la sainteté, pour Dieu, et pour le ciel, peut vraiment prier.

L'activité n'équivaut pas à la force. Le travail n'équivaut pas au zèle. L'activisme est souvent le symptôme reconnu de la faiblesse spirituelle: il peut nuire à la piété lorsqu'il se substitue à la véritable dévotion dans notre adoration. Le poulain est beaucoup plus actif que sa mère, mais c'est elle qui porte le plus gros du poids, tirant la charge sans bruit ni fanfaronnade ni vantardise. L'enfant est plus actif que son père, qui lui porte peut-être la gouvernance et les fardeaux de tout un empire sur ses épaules et dans son cœur. L'enthousiasme est plus actif que la foi, alors que l'enthousiasme n'est pas capable de déplacer des montagnes, ni d'invoquer aucune des forces omnipotentes que la foi peut commander.

L'activité se fait souvent au dépens des éléments plus solides, plus utiles, et généralement s'accompagne d'une négligence totale de la prière. Être trop occupé par les affaires de Dieu pour communier avec Dieu, être trop occupé par le travail de l'Eglise pour prendre le temps de parler avec Dieu de Son œuvre, voilà le chemin royal qui amène les gens à rétrograder; et nombreux sont ceux et celles qui, leur âme immortelle en souffrant, ont foulé ce chemin.

lundi 17 novembre 2014

L’Imminence de l'Enlèvement

Prédication audio 
Philippe ROIG:



Que signifie la parabole des dix vierges ?

Question d'un Internaute : "Comment devons-nous comprendre la parabole des dix vierges. Chaque détail a-t-il une valeur symbolique ?"

Les disciples de Jésus lui posent des questions sur son avènement et sur la fin du monde. Jésus parle des temps de la fin en précisant que seul le Père en connaît le programme exact :

" Pour ce qui est du jour et de l'heure, personne ne le sait, ni les anges des cieux, ni le Fils, mais le Père seul " ( Matt 24.36)

Et il propose la parabole des dix vierges ( Matt 25.1-13). Pour les Juifs, l'idée du Royaume de Dieu était liée à l'idée d'un festin.

Le point culminant des noces juives se situe lorsque l'épouse entre dans la maison de l'époux et devient membre de sa famille. Il en découle deux coutumes : Premièrement le festin a lieu dans la maison de l'époux (Cf. les noces de Cana, Jn 2.1-10). Deuxièmement, l'époux va chercher l'épouse en cortège, avec des lampes, de la musique et des chants, pour la ramener chez lui dans la salle de noces.

Les jeunes filles du village pouvaient se joindre au cortège et être admises au festin sans invitation particulière, à condition d'être revêtues d'habits de fête et d'avoir avec elles leurs lampes.

La parabole de Jésus met en scène deux groupes de jeunes filles qui viennent attendre le cortège quelque part entre les deux maisons. Elles apportent leurs lampes pour être admises dans le cortège illuminé. Comme la pile Wonder (qui ne s'use que si l'on s'en sert) n'était point encore inventée, leurs lampes se composaient d'un petit réservoir d'huile avec un bec, dans lequel trempait une mèche. Cinq d'entre elles sont insouciantes , "tête en l'air", folles dit le texte. Elles ne pensent qu'au plaisir d'être de la fête, et non à ce qui est exigé pour en être. Les cinq autres sont prévoyantes , sages dit le texte. Elles réfléchissent qu'il pourra y avoir une certaine attente.

Comme l'Époux tarde, toutes s'endorment. Les lampes brûlent, car il n'est pas facile à cette époque de se procurer du feu n'importe où.

L'époux arrive enfin. Les lampes doivent être apprêtées. Les sages ont eu la précaution d'apporter une réserve d'huile. Les folles doivent aller en acheter. Les vierges sages sont admises dans le cortège, mais les vierges folles le manquent. Quand elles reviennent et frappent à la porte fermée, il n'y a aucune raison pour qu'on leur ouvre : on ne les connaît pas, car elles n'ont pas participé au cortège.

La conclusion de Jésus est limpide : "Veillez puisque vous ne savez ni le jour ni l'heure." ( v. 13 ). Nous devons nous garder de la tentation de spiritualiser à outrance les paraboles de Jésus, en leur faisant dire plus que Jésus lui-même a voulu y mettre (Valeurs symboliques de la lampe, de l'huile, du sommeil, etc.).

Le souci de Jésus n'a pas été de nous dire que, par exemple, seulement 50 % des chrétiens seront enlevés, comme certains veulent nous le faire croire, mais de nous montrer l'importance de la préparation pour entrer dans le Royaume de Dieu.

N'oublions pas l'exhortation du prophète Amos :

"Prépare-toi à la rencontre de ton Dieu" (Amos 4.12)

lundi 10 novembre 2014

Rachid Bouchami du 19 Octobre 2014

Prédication audio 
Rachid Bouchami:



UN REVEIL DE PURIFICATION

Tous les prophètes ont vu les temps de la fin et ont prophétisé le rassemblement d'un peuple saint, mis à
part, qui aurait une compréhension profonde de la Parole de Dieu.

Daniel a entendu de grandes choses de la part de Dieu mais :
"J'entendis, mais je ne compris pas" (Daniel 12:8).

Quoi qu'il en soit, il a vu l'avènement d'un jour où un Reste purifié, éprouvé et testé comprendrait ce que lui
ne pouvait comprendre ; il y aura une "compagnie des derniers temps", pleine de sagesse et de discernement des choses de Dieu.

"Plusieurs seront purifiés, blanchis et épurés ; les méchants feront le mal et aucun des méchants ne comprendra, mais ceux qui auront de l'intelligence comprendront"
(Daniel 12:10).

Esaïe a déploré l'aveuglement spirituel d'un Israël rétrograde.Il a dit :
"Ils chancellent en prophétisant, Ils vacillent en rendant la justice"(Esaïe 28:7).

Le peu de discernement qu'ils avaient avant a été détruit par leurs convoitises. Mais Esaïe a prophétisé au
sujet d'un jour où
"les sourds entendront les paroles du livre, et, délivrés de l'obscurité et des ténèbres, Les yeux des aveugles verront... Ils sanctifieront mon nom... Et ils craindront le Dieu d'Israël. Ceux dont l'esprit s'égarait acquerront de l'intelligence, Et ceux qui murmuraient recevront instruction" (Esaïe 29:18,23-24).

Je crois que le réveil des derniers temps à propos duquel tant de prédicateurs prêchent est un réveil de
purification.

Si l'oeuvre du Saint-Esprit est de convaincre le monde de péché, de justice et de jugement, alors il est
certain qu'un grand déversement du Saint-Esprit va provoquer de puissantes vagues de conviction, et une
église négligente et indulgente envers le péché va être secouée et obligée à faire face à ses péchés.

Pendant qu'une multitude de chrétiens pourchassent les signes et les miracles et se précipitent vers des
enseignants trompeurs qui prêchent le succès et la prospérité, Dieu appelle "un peuple du désert" qui est
consumé par une faim dévorante de plus de Christ.

En ce moment-même, une compagnie glorieuse est en marche !

Un jour, Dieu a commencé à remuer leur cœur et ils ont abandonné toute hypocrisie et toute honte.

Ils sont allés au cœur de la Parole de Dieu et y ont vu pour eux-mêmes quels sont Ses buts ultimes. Ils ont
revêtu le vêtement de la justice de Christ par la foi, se soumettant à l'autorité de Christ sur eux et ont
décidés de marcher même tout seuls si nécessaire, afin de Lui être pleinement obéissant.

Ils se sont donnés pour but d'entendre et de comprendre la volonté de Dieu.

Ils ont commencé à voir des choses dans l'Esprit et ont été rendus capables de comprendre que la fin de
toutes choses est proche.

Pour ces personnes, la Parole du Seigneur est venue !

"Christ revient !
Abandonnez tous vos péchés installés et portez votre attention sur les choses d'en haut !
Ne prenez pas part aux empires et aux rêves des hommes. Abandonnez toutes ces choses et sortez pour Le rencontrer."

Cette parole est proclamée haut et fort !
David Wilkerson

dimanche 9 novembre 2014

Retour de Captivité

Prédication audio 
 
Jean-Marie JULLIAN:



lundi 3 novembre 2014

La Marche par la Foi

Prédication audio 
Philippe ROIG:



Prière qui secoue l'enfer

Quand le livre de Daniel fut écrit, Israël était en captivité par Babylone. Et arrivant au chapitre six, après
une longue vie dans le ministère, Daniel avait quatre-vingts ans.
Daniel avait toujours été un homme de prière. Et maintenant, dans sa vieillesse, il n'avait aucune pensée
de ralentir. L'Écriture ne fait aucune mention de Daniel étant usé ou découragé. Au contraire, Daniel ne
faisait que commencer. L'Écriture montre que même alors que cet l'homme atteint quatre-vingt, ses prières
secouaient l'enfer, mettant en rage le diable.
Le roi Darius promut Daniel à la magistrature suprême dans le pays. Il était devenu l'un des trois
co-présidents, dirigeant les princes et les gouverneurs de 120 provinces. Darius favorisait Daniel par
rapport aux deux autres présidents, mettant Daniel en charge de former la politique du gouvernement et
enseignant toutes les personnes nommées pour le tribunal et les intellectuels. (Daniel 6:3)
De toute évidence, Daniel fut un prophète occupé. Je peux à peine imaginer toutes les pressions exercées
sur ce pasteur, avec son horaire chargé et des réunions prenant beacoup de temps. Rien, cependant,
pouvait enlever Daniel de ses moments de prière, il n'était jamais trop occupé pour prier. La prière restait
son occupation principale, prenant le pas sur toutes les autres demandes. Trois fois par jour, il se sépara
de toutes ses obligations, charges et exigences comme un dirigeant afin de passer du temps avec le
Seigneur. Il simplement se retira de toutes les activités et pria. Et Dieu lui répondit. Daniel reçut tous sa
sagesse, direction, messages et prophéties pendant qu'il était à genoux. (voir Daniel 6:10)
Vous vous demandez: Quelle est la prière qui secoue l'enfer?
Elle provient du serviteur fidèle, assidu, qui voit sa nation et son église tombant de plus en plus
profondément dans le péché. Cette personne tombe à genoux, criant: "Seigneur, je ne veux pas faire partie
de ce qui se passe. Permet-moi d'être un exemple de ta puissance qui subsiste au centre de cette époque
perverse. Cela n'a pas d'importance si personne d'autre ne prie. Je vais prier."
Trop occupé pour prier?
Est-ce que vous dites, "Je viens le prendre par la foi"?
Vous pensez peut-être vous-même, "Dieu connaît mon coeur, il sait à quel point je suis occupé.
Je lui donne des prières par ma pensée tout au long de la journée."
Je crois que le Seigneur veut des moments de qualité et sans hâte seul avec nous. La prière devient alors
un acte d'amour et de dévotion, et non pas seulement un moment de demandes.

David Wilkerson