lundi 28 mars 2016

Adoration Louange et Sacrificature

Prédication audio 
Philippe ROIG:


LES SOURCES DE LA VIE

LES SOURCES DE LA VIE

John Hunter : revue « Le réveil »
«Toutes mes sources sont en toi» (Ps. 87/7).
C’est un plaisir constamment renouvelé que de remonter le cours d’un fleuve jusqu’à sa source. Celui qui a fait cette expérience constate qu’au fur et à mesure qu’il s’approche du point de départ de la rivière, les eaux sont plus limpides parce qu’elles ne sont pas encore chargées de toutes les souillures qu’elles ramassent en cours de route. Le Rhône à Marseille est fort différent du Rhône à Gletsch où ses eaux pures et blanches jaillissent de dessous le glacier majestueux.
Dans cette méditation nous remonterons le cours des âges jusqu’à l’origine des choses les meilleures, et nous ne nous arrêterons pas avant d’avoir atteint les sources éternelles de vie, de paix, de joie, de salut.
En premier lieu nous mentionnerons
La source créatrice
«Auprès de toi (Eternel) est la source de la vie» (Ps. 36/10). «La crainte de l’Eternel est une source de vie» (Pro. 14/27).
A l’angoissante question: D’où le premier homme est-il venu? Certains grands savants dont Darwin, auteur de l'Origine des Espèces, répondent par la théorie du développement d’une cellule première renfermant toutes les forces nécessaires à une évolution infinie, processus très long pouvant s’étendre à des millions d’années. Pour d’autres naturalistes, l’homme au début, n’était ni plus ni moins qu’un têtard, vivant dans la fange des étangs, mais qui a passé par des développements successifs sous l’influence des circonstances, du temps et du climat.
Cependant, nous, les simples, nous aimerions qu’on nous dise d’où le fameux têtard est venu!
D’autres, enfin, ont trouvé dans le singe l’ancêtre authentique de l’homme. Mais qu’y avait-il à l’origine du singe? Qui nous le dira?
La philosophie spéculative des savants ne réussit pas à nous convaincre; le chrétien est las de ces théories qui ne lui inspirent que du dégoût et il revient avec bonheur à la grande parole éternelle: «Dieu créa l’homme à son image» !
Qu’il est réconfortant d’aller «à la source de la vie» et de reconnaître en Dieu notre Créateur et notre Origine! Nous laissons aux incrédules leurs têtards et leurs gorilles, et nous nous attachons de tout notre cœur à Dieu, la source unique de notre vie physique, morale et spirituelle.
Deuxièmement nous voyons
La source abandonnée
«Mon peuple a commis un double péché, ils m’ont abandonné, moi qui suis une source d’eau vive, pour se creuser des citernes, des citernes crevassées qui ne retiennent pas l’eau» (Jér. 2/13).
L’homme, hélas, après avoir été créé d’une si admirable manière, s’éloigna de la source du bonheur et lui préféra les citernes de ce monde. Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et tout le genre humain a été contaminé par le virus diabolique. Tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu. Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie.
Quand le sarment se détache du cep, la source de la vie tarit aussitôt, et c’est exactement ce qui est arrivé chez tous les hommes. Le mal a agi en eux comme une cloison étanche, les séparant de la communion avec Dieu. L’être humain sent qu’il a perdu tout vrai contact avec son Créateur, mais au lieu de le reconnaître et de s’en humilier, il se tourne vers les citernes crevassées de ce monde, vers un faux bonheur, vers une vie artificielle, vers de vains plaisirs qui le trompent et le plongent dans l’insatisfaction, l’amertume, le remords, le désespoir.
Dieu élève une complainte sur son peuple, car si le Seigneur est déçu, l’homme l’est encore davantage. La source céleste se referme tandis que l’homme se débat dans sa soif ardente. Le prix du péché est fort élevé, et quand on l’a payé, on découvre qu’on a été dupé dans les grandes largeurs par le séducteur des âmes.
La source ouverte
«En ce jour-là, une source sera ouverte... pour le péché et pour l’impureté» (Zach. 13/1).
Dans sa divine bonté, Dieu a pitié de l’âme égarée et malheureuse, et lors même qu’il pourrait, à juste titre, repousser l’homme pécheur dans l’abîme éternel, il fait jaillir au contraire, devant les pas de l’homme perdu, une nouvelle source de vie.
C’est au pied de la Croix de Golgotha qu’une source sanglante a été ouverte pour laver le péché et l’impureté de l’homme. Véritable fontaine du salut de laquelle l’âme sort blanchie, renouvelée, consolée.
Si le mal a tué ses mille, le sang du Calvaire a sauvé ses dix mille. Nous sommes rachetés par le précieux sang de Christ.
Pourquoi gémir sur tes fautes, mon frère, pourquoi poursuivre la course et mourir dans l’éloignement de ton Créateur? Dieu a pensé à toi, le Christ est mort pour toi, tes frères prient pour toi. Viens sans tarder à la source du salut, jette-toi par un acte de suprême foi dans la source purificatrice du Calvaire et tu en ressortiras plus blanc que la neige.
Non, Dieu n’a pas oublié ses créatures torturées par mille péchés divers. Il a envoyé son Fils comme médiateur entre lui et l’homme, pour lui proposer un armistice, mieux, une alliance perpétuelle basée sur la vertu de son sang répandu à la Croix.
A travers les âges, Dieu a conduit des millions d’âmes tourmentées au pied de la divine source où la paix a remplacé l’inquiétude, et le ciel l’enfer. Heureux celui qui accepte l’invitation du Sauveur, et qui se détourne des sources empoisonnées du monde pour trouver dans le sang du Calvaire le pardon, la purification et la paix!
Signalons enfin
La source céleste
«Car l’agneau qui est au milieu du trône les paîtra et les conduira aux sources des eaux de la vie, et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux» (Apoc. 7/17).
Bientôt nous aurons dépassé le dernier jalon de la route terrestre, et nous lèverons les yeux dans la cité glorieuse des saints, des martyrs, des vainqueurs. Toutefois gardons-nous de nous représenter le ciel comme un lieu où les rachetés ne connaîtront aucune activité, où ils resteront toujours à la même place! Le Seigneur Jésus les conduira aux sources des eaux de la vie. Il nous est naturellement impossible d’approfondir le sens de cette expression, mais nous croyons qu’elle désigne quelque chose de sublime, d’infiniment satisfaisant, de durable. Nous possédons la vie, nous connaîtrons un jour Celui qui en est la source!
Quoi qu’il en soit, nous jouirons avec plénitude de toutes les sources de Dieu, sources qui ne tariront jamais et dont le contact renouvellera constamment en nous la force, l’ardeur, la joie, l’adoration.

Dans l’attente de nous désaltérer aux fontaines du ciel, puissions-nous réaliser toujours davantage la portée du texte que nous avons mis en tête de notre article:

lundi 21 mars 2016

Saul devenu Paul

Prédication audio 
Philippe ROIG:


lundi 14 mars 2016

Les Doctrines

Prédication audio 
Philippe ROIG:


DEUX PAIRES D'YEUX

DEUX PAIRES D’YEUX

Revue « le réveil »

Le chrétien possède deux paires d’yeux; il se sert tantôt de l’une tantôt de l’autre quand ce n’est pas des deux à la fois.
Si les yeux que la nature lui a donnés sont amplement suffisants pour lui faire voir les choses de ce monde, ils ne peuvent en aucune manière lui représenter fidèlement les choses divines; au contraire, ils les déforment au point que ce qui est lumière devient ténèbres, et ténèbres lumière, le bien mal, et le mal bien. Tant que l’homme se laisse conduire exclusivement par ses yeux naturels, il vit une existence sans Dieu dans le péché et dans le monde.
Mais Dieu a donné à son enfant une seconde paire d’yeux, les yeux de la foi grâce auxquels il discerne les réalités, autrement invisibles, d’un monde tout à fait différent, et ce qu’ils lui font entrevoir ne sont jamais des illusions. En tant que chrétiens nous sommes appelés à tenir fermés nos yeux naturels, nous en servant pour les choses de cette vie seulement, et à tenir grands ouverts les yeux de la foi.
Beaucoup de chers enfants de Dieu croient qu’ils ne pourraient marcher sans se servir de leurs deux paires d’yeux, ce en quoi ils se trompent lourdement. C’est là qu’il faut chercher et pas ailleurs la cause des inconséquences de leur conduite, de l’instabilité de leur marche, du manque de fermeté de leur témoignage, de l’inquiétude de leur esprit.
Est-il besoin de mentionner l’objet sur lequel doit se fixer le regard de la foi ? De qui le champ de notre vision spirituelle doit-il être rempli ? De Dieu lui-même. L’homme qui a toujours le Seigneur devant lui sera conscient, cela va sans dire, des gens et des personnes qui l’entourent, mais considérés à travers le prisme de l’œil de la foi, ils lui apparaîtront dans une tout autre lumière. Prenez, par exemple, un homme qui passe par une grande affliction : il vient de perdre une fortune, une situation, un être cher. Vu par ses yeux naturels, son malheur lui paraît injuste, insupportable, catastrophique; il murmure, il s’agite, il perd sa communion avec Dieu, et sa peine en est aggravée d’autant.
Son voisin est atteint des mêmes épreuves; seulement, au lieu de les considérer avec ses yeux naturels, ils les regardent avec les yeux de la foi, et combien différentes elles lui apparaissent ! Immédiatement la parole du psalmiste lui revient à l’esprit : « Le Seigneur pense à moi ! » (Ps. 40/18). Il se représente son Père céleste choisissant dans son trésor particulier le gage d’amour dont son enfant a besoin à cette heure, et il le lui envoie sous la forme de l’épreuve dont nous parlions tout à l’heure. Doutera-t-il de la sagesse qui a dicté ce choix?, de l’amour qui l’a inspiré ? Songera-t-il un seul instant à regarder cette tribulation avec ses yeux de chair — ce qui le conduirait fatalement à pécher contre Dieu ? Non, mille fois non ! La présence de son Seigneur à ses côtés, l’assurance qu’il fait toutes choses bien, font que la santé et la maladie, la prospérité et la pauvreté, la vie et la mort, lui sont une même joie (Hab. 3/17-19). En fait, l’absence des conforts matériels lui rend la présence de Dieu beaucoup plus sensible que ne le ferait la possession des biens terrestres.
Mais lequel d’entre nous a appris à se servir de sa seconde paire d’yeux avec une telle maîtrise ? Aucun, peut-être. C’est pourquoi notre Père céleste, constatant l’inaptitude de son enfant à marcher uniquement par la foi, lui accorde l’aide extérieure dont sa faiblesse a besoin pour cheminer ici-bas, quitte à la lui retirer sitôt qu’elle ne lui sera plus nécessaire. Ne sommes-nous pas enclins à nous appuyer sur ce que nos mains peuvent toucher, sur ce que nos yeux peuvent voir plutôt que de nous abandonner entièrement, absolument, à la grâce toute suffisante du Seigneur ?
Deux paires d’yeux ! Les possédons-nous toutes les deux ? Et si nous devions choisir, laquelle préférerions-nous ?

000000000

lundi 7 mars 2016

BRILLEZ COMME DES FLAMBEAUX

BRILLEZ COMME DES FLAMBEAUX

Edward Southard (revue Pentecostal evangel)
Allocution donnée au Collège Biblique Central Springfield - Missouri
Apportez les nouvelles à toute terre, escaladez les pentes escarpées et traversez les vagues, allez de l'avant, c'est le commandement de notre Seigneur.
Jésus Sauve, Jésus Sauve!
En Lettres Vivantes, Philippiens 2/15 dit : «Soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu irréprochables au milieu d'une génération perverse et corrompue, parmi laquelle vous brillez comme des flambeaux dans le monde portant la parole de vie».
Revoyons ensemble, rapidement l'épisode captivant, instructif de Gédéon dans l'Ancien Testament et celui de ces hommes courageux qui ne voulaient pas se soumettre. Ils étaient des hommes à prendre un taureau furieux par les cornes, à marcher face à la bouche d'un canon, à affronter Goliath avec une fronde. Combien ces hommes étaient désespérément nécessaires ! Israël était craintif, captif, acculé. Les Madianites et les Amalécites étaient campés contre eux pour les retrancher de la face de la terre.
Ils auraient eu besoin d'un David qui libère, d'un Samson qui massacre, d'un Daniel audacieux. Mais contre ces circonstances accablantes, Dieu choisit d'envoyer Gédéon et 300 hommes avec des trompettes et des lampes comme seules armes. Dieu choisit Gédéon qui plaidait : «0! mon Seigneur avec quoi sauverai-je Israël ?»
Gédéon qui se lamentait, «Voici ma famille est pauvre en Manassé».
Gédéon qui confessait «Je suis le moindre dans la maison de mon père».
Mais souvenez-vous que le choix appartient à Dieu, et c'est Dieu qui dit, «Va avec la force que tu as, tu sauveras Israël de la main des Madianites ; ne t'ai-je pas envoyé ?». Alors leurs trompettes lancèrent un certain son. Alors leurs lampes diffusèrent une brillante lumière et quelle victoire miraculeuse ils remportèrent !
Maintenant regardons à la situation du monde actuel. Les signaux de danger apparaissent. Les lumières rouges de troubles imminents sont projetées. Les lignes de bataille se forment.
Une certaine source d'information dans laquelle j'ai grande confiance, avertit que dans les derniers jours la situation ira de pire en pire.
Jésus dit que Le jour sera comme le temps de Noé où l'esprit des hommes était enveloppé par le mal. L'iniquité abondera.
Le mystère du désordre est déjà à l'œuvre. Le pressoir de la colère de Dieu se remplit rapidement.
Elle ne pourra pas Être contenue longtemps encore.
Par Ses prophètes Dieu révèle que le soleil déversera sur notre âge des vagues furieuses d'agitation et d'anarchie, des enchevêtrements chaotiques et des péchés jamais surpassés. Les cœurs des hommes défailliront de peur. «A cause de toutes ces choses qui viennent sur la terre».
C'est vrai. Les ombres s'allongent. L'ombre sombre de la nuit spirituelle tombe. Nous n'osons pas être assez naïfs pour le nier, ni opposer un optimisme profane aux vérités prophétiques de la Parole de Dieu.
Mais quelle doit être notre attitude ? Allons-nous nous retirer dans la consternation ? Considérons-nous la bataille comme perdue ? Notre condition présente n'est-elle pas parallèle à celle affrontée par Gédéon ? Qui se lèvera comme chefs maintenant ? Qui brillera comme une lampe qui brûle. La Grande Charge n'a jamais été abrogée, et nos ordres demeurent les mêmes.
En face de ce mandat, est-ce que nous rampons alors que nous devrions avancer à grands pas ? Est-ce que nous tournons des taupinières alors que nous devrions déplacer des montagnes ? Est-ce que nous capitulons alors que nous devons conquérir ? Sommes-nous craintifs alors que nous devrions amener les hommes captifs à la vérité. Est-ce que nous renvoyons à plus tard de propager l'évangile ! Est-ce que nous nous querellons avec nos compagnons soldats au lieu d'anéantir l'ennemi commun.
Quelques-uns parmi nous ressemblent à un fermier qui moissonne une rangée, alors que 24 rangées sont prêtes, ou à un bateau de guerre qui tire seulement 2 canons, alors qu'il y a 14 canons.
Médiocre est le terme qui qualifie trop de personnes du peuple de Dieu. C'est d'une qualité moyenne, l'état d'être ordinaire.
Gédéon regardait 22.000 hommes ordinaires qui faiblement retournaient à leurs tentes lorsque l'opportunité leur fut donnée. Alors Dieu utilisa Gédéon et 300 hommes extraordinaires pour gagner la victoire avec un armement extraordinaire : des trompettes et des lampes.
Et qu'en est-il de cette Eglise enfant du Nouveau Testament ? Imaginez-vous que sa tache fut facile ?
Comment atteignez-vous un Juif orthodoxe bon teint ? Comment pouvez-vous extirper des siècles de traditions, de rites, d'intrigues ? Ou comment pouvez-vous pénétrer dans un empire païen qui verse le sang, qui tue les saints, qui a la haine du Chrétien. Est-il facile de convertir l'élite de l'athéisme sophistiquée ? et cependant, c'est cela que l'Eglise Primitive a accompli. Ces premiers disciples n'avaient aucun prestige social, politique ou ecclésiastique. Ils n'avaient pas d'argent, ne possédaient point de propriété, n'avaient point de littérature imprimée !
Quelques-uns étaient des ignorants. Leur foi solide, vitale en un Rédempteur ressuscité et l'Esprit d'en haut étaient leurs biens essentiels.
Devant la hautaine Jérusalem et la violente Rome ils étaient semblables au berger au visage coloré affrontant le géant exercé à la bataille. Et comme le jeune berger, ils vainquirent.
Oh ! oui ils vainquirent ! Jérusalem, cite du Temple, siège de l'orthodoxie fut retournée par leur étrange, nouvelle foi Chrétienne et leur doctrine.
L'Empire Romain fut ébranlé jusqu'en ses fondements, par leur marche.
Oh ! quel réveil spirituel ! La dimension de leur triomphe sous la puissante main de Dieu demeurera pour toujours glorieuse, émouvante. Et cependant, ils étaient de simples hommes ordinaires mais transformés en hommes extraordinaires par leur passion pour Christ, par la flamme et le feu du Saint-Esprit.
Maintenant considérez l'armement de la conquête.
Ils avaient une joie extraordinaire. La joie est irrésistible. Elle est magnétique.
«Lui que vous aimez sans l'avoir vu, en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant d'une joie ineffable et glorieuse», (I Pierre 1/8).
Lorsque vous connaissez vraiment Jésus, vous avez la joie. Le mécontentement se dissout, la haine se dissipe, les agitations s'évanouissent, la maladie disparaît, l'amour réchauffe la vie. Et la joie du Seigneur est votre force. C'était sûrement la leur.
Les premiers Chrétiens avaient une foi extraordinaire. Au boiteux, Pierre dit, «Je n'ai ni or, ni argent, mais ce que j'ai, je te le donne : au Nom de Jésus de Nazareth lève-toi et marche». Et il le fît.
Lorsque Pierre dit, «Tabitha, lève-toi,» elle qui était morte, s'assit.
Les portes de la prison s'ouvrirent toutes grandes lorsque l'Eglise priait.
Les chaînes de Paul et de Silas tombèrent lorsqu'ils chantaient à minuit, les louanges de Dieu. De puissants signes et des prodiges confirmaient la Parole.
Ils avaient un amour extraordinaire. Le peuple de Jérusalem disait (je pense à cela avec envie), «Voyez comme ils s'aiment !» et ils se joignaient à eux par milliers. L'amour attire. L'amour submerge. L'amour est vainqueur. Jésus dit, «A cela les hommes connaîtront que vous êtes mes disciples si vous avez de l'amour les uns pour les autres. »
Ils avaient une extraordinaire victoire,
«Qui nous séparera de l'amour de Christ? Sera-ce la tribulation, ou l'angoisse, ou la persécution ou la faim...... Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés,» (Romains 8/35-37).
Extraordinaire joie, extraordinaire foi, extraordinaire amour, extraordinaire victoire les ont rendus plus que vainqueurs.
Ces qualités donneront aujourd'hui les mêmes résultats.
Je vous exhorte à une grande fidélité dans le travail pour lequel Dieu vous a appelés. Vous qui écrivez, laissez la vérité Chrétienne couler librement de votre plume !
Chanteurs, chantez pour magnifier le Seigneur ! Missionnaires, allez de l'avant dans votre merveilleuse mission, Hommes d'affaires, ne négligez pas la grande affaire qu'est l'Eglise ! Enseignants, enseignez les richesses de Dieu en Christ-Jésus. Prédicateurs, prêchez comme un homme qui va mourir s'adressant à des hommes qui vont mourir !
Que chacun de nous « BRILLE COMME un FLAMBEAU dans le monde, portant la PAROLE de VIE » Jusqu'à ce que se lève l'aurore et que se dissipent les ombres.

000000000