lundi 29 mai 2017

Le Chemin de la Croix

Prédication audio 
Philippe ROIG:


lundi 22 mai 2017

Jaebets

Prédication audio 
Philippe ROIG:


lundi 15 mai 2017

N'attristez pas le Saint-Esprit

Prédication audio 
Philippe ROIG:


UNE MÈRE OUBLIERA T'ELLE ?


par Esther E. Buckenham (Radio reveil 1978 .03)
C’est peut-être typique de nos jours que tant de chrétiens aspirent à faire de grandes choses pour Dieu, et refusent obstinément de voir ce que Dieu leur a déjà donné à faire — le travail pour lequel ils auront à rendre compte au jour où tous auront à répondre à Dieu de leurs œuvres sur la terre. Combien de mères chrétiennes nous disent avec tristesse :
— «Je ne puis rien faire pour Dieu, je suis complètement liée par mes enfants!» Nous sommes bien éloignés des jours de nos ancêtres quand un enfant était considéré comme une bénédiction pour laquelle on priait, un don que l’on attendait avec joie.
Mère chrétienne, si vous avez des enfants — si vous n’avez qu’un enfant — dont vous ayez à vous occuper, vous avez déjà un travail pour lequel Dieu vous tiendra responsable.
Dans la vie nous avons tous des tâches — des professions — des métiers; l’entrepreneur construit des maisons, le poète écrit des poésies, l’écrivain des livres — mais le travail que Dieu confie à une mère surpasse tout cela. Former, façonner le caractère d’un enfant — le préparer pour l’éternité — nul ne peut nier l’importance primordiale d’une telle tâche.
Considérons quelques aspects de notre caractère de mère. Des exemples sont donnés dans la Parole de Dieu pour nous montrer ce que Dieu nous demande lorsqu’il nous appelle à être mères. Avec joie remercions notre Dieu pour la tâche qu’il nous confie, et avec son aide prenons au sérieux nos responsabilités.
Une mère chrétienne doit être une femme de prière. (Lire: I Samuel 1:10 — 28.)
Nous préparons avec joie l’arrivée de nos enfants — nous achetons un trousseau, un petit lit, tout le nécessaire... et parfois plus! C’est bien; mais est-ce que nous passons seulement cinq minutes tous les jours dans la présence de Dieu, en prière pour l’enfant que nous espérons appeler nôtre? Nous aimons raconter l’histoire de Samuel aux enfants, mais nous aussi, nous avons beaucoup à apprendre de cette histoire d’une mère qui «répandait son âme devant Dieu» lui demandant avec angoisse un fils (comme l’ont fait les mères d’Isaac, de Samson et de Jean - Baptiste). Et Anne désire un fils... tout simplement pour «le donner à Dieu pour toute sa vie» !
Combien cela a dû lui être difficile d’amener son petit garçon, si mignon, si aimable, si bien soigné par elle, à Jérusalem; de laisser son petit trésor avec un homme âgé — même pas avec une vraie maman —, avec un homme dont les fils n’étaient certes pas des modèles, et étaient loin de refléter la sagesse et la piété de leur père.
Ce n’est certainement pas par un accident de la nature que Dieu nous donne le temps de nous préparer — ou de nous laisser préparer par lui — pour notre responsabilité maternelle. Rappelons-nous que la prière est le moyen de préparation le plus puissant qui nous soit donné. Passons au moins quelques moments tous les jours dans la présence de Dieu en prière pour nos enfants.
Une mère chrétienne doit être une femme qui pense d’abord à son enfant. (Lire: I Rois 3:16-26:)
Nous disons, bien facilement, que «nous nous sacrifions pour nos enfants». Il est certain que si nous sommes de vraies mères, il y a un sacrifice à faire. Pour la vraie mère, le bien-être de son enfant a toujours la priorité sur ses propres sentiments.
C’est bien là le vrai sacrifice d’une mère. Par exemple, dans la vie de tous les jours, nous devons être véridiques si nous voulons que nos enfants ne mentent pas, nous devons être soumises et douces si nous ne voulons pas voir de manifestations de colère chez nos enfants, nous devons être polies et charitables si nous voulons avoir des enfants «bien élevés».
Si nous restons volontaires, vives, coléreuses, malheureuses, envieuses, etc... nous ne connaissons absolument pas ce que sont les sacrifices d’une mère.
Une mère chrétienne doit être fidèle en tout ce qu’elle fait pour ses enfants. Une femme oublie-t-elle l’enfant qu’elle allaite? N’a-t-elle pas pitié du fruit de ses entrailles? Quand elle l’oublierait, Moi je ne t’oublierai point. (Esaïe 49:15.)
Une mère peut-elle oublier son enfant?... Il est possible, hélas! qu’une mère oublie les besoins de son enfant qu’elle allaite, mais heureusement, même aujourd’hui, ce cas est rare. Et cependant, chères mères chrétiennes, bien que nous soyons si fidèles à satisfaire les besoins physiques de nos enfants, qu’en est-il de leurs besoins spirituels? Un bébé pleure et crie lorsque sa nourriture ne lui est pas donnée — ne pourrions-nous pas considérer que tous les caprices, tous les mensonges, toutes les tromperies, toutes les méchancetés de nos enfants, sont autant de cris d’appels pour une nourriture spirituelle?
Le beau mot «chérir», complète cette pensée de la fidélité. La mère satisfait à tous les besoins de son bébé, non pas par devoir mais par amour, et avec une tendresse infinie. Est-ce une joie pour nous que d’essayer de satisfaire avec amour et avec soin, aux besoins spirituels aussi bien que physiques de nos enfants?
Une mère chrétienne est une femme de consolation.
Comme un homme que sa mère console, ainsi je vous consolerai. (Esaïe 66:13.)
C’est Dieu lui-même qui fait usage de cette illustration lorsqu’il parle de la façon dont il veut consoler son peuple.
Combien d’entre-nous ont connu des déceptions et rencontré des difficultés dans la vie, pour ne trouver de consolation et de réconfort que dans les bras d’une mère pleine de compréhension?
Sommes-nous trop occupées en ces jours pour donner à nos enfants le réconfort de notre compréhension et le soutien de notre sympathie?
Une mère chrétienne doit être une femme de la Bible.
Du commencement à la fin de la Bible nous voyons combien les hommes ont reçu de leur mère. Voici par exemple ce que l’apôtre Paul pouvait écrire au jeune Timothée : « Depuis ton enfance, en effet, tu connais les Saintes Ecritures; elles peuvent te donner la sagesse qui conduit au salut par la foi en Jésus-Christ. Toute Ecriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner la vérité, réfuter l'erreur, corriger les fautes et former à une juste manière de vivre, afin que l'homme de Dieu soit parfaitement préparé et équipé pour accomplir toute œuvre bonne ». (II Timothée 3:15-17.)
Même de nos jours nous pouvons réaliser que l’influence d’une mère surpasse l’influence d’une fiancée, d’une épouse ou de toute autre relation. Quel usage faisons-nous de notre influence? Est-ce que nos enfants «connaîtront les Saintes Lettres depuis leur enfance» Avez-vous jamais raconté à vos enfants les merveilleuses histoires de David, Daniel, Paul, Jean et Pierre? Prenons-nous le temps de prier avec nos enfants, de leur enseigner une totale dépendance de Dieu, de les élever «en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur?» (Ephésiens 6:4).
Une mère chrétienne doit être une femme ayant un but. « On lui amena des petits enfants, afin qu’il leur imposât les mains et priât pour eux. Mais les disciples les repoussèrent. Et Jésus dit: Laissez les petits enfants, et ne les empêchez pas de venir à moi; car le royaume des deux est pour ceux qui leur ressemblent. Il leur imposa les mains ». (Matthieu 19:13-15.)
Il est nécessaire que nous nous arrêtions de temps en temps pour examiner nos vies, pour découvrir quel est véritablement notre but principal. Est-ce d’avoir une vie plus facile, plus agréable, de moderniser notre existence ? Est-ce de nous débarrasser de nos enfants... afin de nous occuper d’autre chose? Est-ce de veiller à ce qu’ils aient une bonne santé — une bonne éducation — d’obtenir pour eux de bonnes places, de les pousser aussi loin et aussi vite que possible?
Lisons de nouveau la merveilleuse histoire des mères qui vécurent du temps où Jésus était sur la terre. Elles l’observèrent jour après jour dans sa vie d’ici-bas. Elles virent la pureté de son service, son amour, le parfait sacrifice de sa vie. Se tournant alors vers leurs propres vies, elles furent remplies d’un seul grand désir: amener leurs enfants à Jésus, et les lui faire toucher. Les nôtres sont-ils venus à lui? Les a-t-il touchés et transformés? Sinon, serait-ce parce que leurs mères ont manqué à leur tâche, à leurs responsabilités dans la prière et l’enseignement de la Parole de Dieu? Ou peut-être, parce qu’elles ont eu si peu de temps elles-mêmes pour se tenir en Sa présence bénie...

Ne négligeons plus le travail que le Seigneur nous a confié. Il nous faudra beaucoup de sagesse pour le mener à bien, mais il a promis d’en donner à ceux qui la lui demandent.

jeudi 11 mai 2017

Le Salut dans l'Ecriture

Prédication audio 
Philippe ROIG:


lundi 8 mai 2017

L'Histoire de l'Eglise

Prédication audio 
Philippe ROIG:


APÔTRE DE L'EQUILIBRE


Extrait d'une prédication de D. Gee (transmis par Ken Acheson)   (Réalité de la foi digest  1998/01)
Donald GEE a souvent été désigné comme l’apôtre de l’équilibre. Il compare ci-dessous notre marche dans l’Esprit à la conduite d’une moto : Alors que j’étais pasteur en Ecosse, au début de mon ministère, un frère d’un village éloigné fréquentait mon église. Cet homme a pensé qu’il serait bien pratique, pour se rendre au culte, d’acquérir une moto semblable à celle de son fils. C’était une bonne idée et ainsi ce vieil ami s’acheta une magnifique et puissante machine. Il était donc prêt à l’attaque ! Pourtant, il avait oublié une chose : c’est qu’il était nécessaire d’apprendre à conduire son engin ! Son fils proposa de lui donner des leçons. Mais les pères sont souvent réticents aux conseils et à l’aide de la jeune génération. Il pensa qu’il pouvait très bien se débrouiller tout seul.
Et un beau matin, il fit démarrer son moteur. On entendit des pétarades, la moto prit de la puissance, l’homme était parti pour une randonnée d’essai. Il ne connaissait pas le fonctionnement des vitesses si bien que la moto, avec ce conducteur inexpérimenté, balança d’un côté et de l’autre. Son équilibre devint très vite précaire et le brave homme et son véhicule terminèrent leur course dans un fossé. Il ne se fit heureusement aucun mal mais rentra à pied à la maison en poussant sa moto.
Lors de l’une de mes visites je la vis dans un coin de la cour, couverte d’une bâche. Son propriétaire ne manqua pas de la critiquer. Quelques semaines plus tard, il l’avait vendue. Inutile de préciser que la machine était tout sauf défectueuse. Le seul problème était en fait ce conducteur têtu.
Dans l’exercice de mon ministère pastoral, j’ai rencontré beaucoup de gens pareils à cet ami. Ils réalisent l’importance de la puissance d’En-Haut et la différence qu’elle produit dans la vie des personnes baptisées. Aussi ils recherchent avec ferveur le baptême du Saint-Esprit. Le Seigneur, selon la promesse du Père dans Luc 11 /9 — 13 : « Cherchez et vous trouverez », répond à leur prière.
Pourtant, soit à cause d’un manque d’enseignement, soit à cause d’une certaine fierté, ou un peu des deux, leur nouvelle expérience de Pentecôte « rate » complètement. Tout commence par une forte impression de I puissance, ce qui leur fait perdre l’équilibre. Ils passent d’un extrême à l’autre et malheureusement finissent souvent dans le fossé. Ils blâment alors leur baptême, commencent à douter et écoutent les critiques de ceux qui suggèrent que c'était probablement une erreur.
Le baptême dans l'Esprit est bien sûr une expérience réelle et ils ne peuvent nier que le Seigneur ait fait quelque chose en eux mais ils se demandent pourquoi tout est allé de travers. L'enthousiasme du début de cette vie de puissance diminue petit à petit. Leur « pentecôte » les déçoit ainsi que leurs amis et leur entourage.
Lors de mes voyages dans plusieurs pays, j'aurais désiré rester au moins une quarantaine de jours avec ceux qui étaient baptisés dans le Saint-Esprit. En effet, j'ai toujours admiré la prédication des évangélistes qui exhortent les chrétiens à rechercher ce précieux baptême et j'ai apprécié le fait qu'ils puissent passer des heures dans cette recherche.
Pourtant, une fois le baptême reçu, il y a souvent une sorte de vide, un manque. Les intéressés ont été baptisés, ils ont parlé en d'autres langues. Leur recherche a donc abouti, leur but est atteint. La prière se transforme en éclats de louanges. Ceux qui les ont aidés dans la prière se tournent alors vers d’autres afin d'intercéder aussi pour eux.
Mais est-ce que le fait d'avoir enfin reçu son baptême signifie que le croyant n’a plus besoin d'aide? Certainement pas. C'est une grave erreur de penser qu'il y ait quelque chose d'automatique quant aux œuvres de l'Esprit et qu'une fois le baptême reçu, rien de plus n'est nécessaire que cette nouvelle onction et une évangélisation fervente.
Une des plus grandes faiblesses du mouvement de Pentecôte a certainement été le manque d'enseignement pratique concernant la marche dans l’Esprit et les dons spirituels. Pourtant le fait est que notre glorieux Seigneur a placé des enseignants dans son église afin d’instruire ses enfants remplis de l’Esprit à marcher comme ils le devraient.
Commencer une vie et une œuvre dans la puissance de l’Esprit aussitôt après avoir été baptisés dans l'Esprit est peut-être le privilège de ceux qui ont tout d'abord été bien enseignés quant aux voies de Dieu. Mais pour beaucoup, je dirais pour la majorité, il y a un besoin urgent d'instruction concernant les dons spirituels et leur mise en pratique.

Même pour notre Seigneur, il y a eu une période significative de quarante jours après son baptême du Saint-Esprit au Jourdain, quarante jours dans le désert avant que son ministère de puissance, de guérison des opprimés et des malades soit vraiment connu !

jeudi 4 mai 2017

La Croissance

Prédication audio 
Philippe ROIG:


lundi 1 mai 2017

Connaitre Jésus

Prédication audio 
Philippe ROIG:


LE BON COMBAT DU CHRETIEN


Eph 6:12 Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.

CONTRE LA CHAIR
Rom 7:14-25 Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais: je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi.
Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair: j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi: quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur; mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis! Qui me délivrera du corps de cette mort?...
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur!... Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.
  
DANS LA PRIERE
Col 4:12 Épaphras, qui est des vôtres, vous salue: serviteur de Jésus-Christ, il ne cesse de combattre pour vous dans ses prières, afin que, parfaits et pleinement persuadés, vous persistiez dans une entière soumission à la volonté de Dieu.
Rom 15:30 Je vous exhorte, frères, par notre Seigneur Jésus-Christ et par l'amour de l'Esprit, à combattre avec moi, en adressant à Dieu des prières en ma faveur,
2 Cor 10:3-4 Si nous marchons dans la chair, nous ne combattons pas selon la chair. Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles; mais elles sont puissantes, par la vertu de Dieu, pour renverser des forteresses.

POUR LE SALUT DES AMES
1 Cor 9:25 Tous ceux qui combattent s'imposent toute espèce d'abstinences, et ils le font pour obtenir une couronne corruptible; mais nous, faisons-le pour une couronne incorruptible.
Phil 4:3 Et toi aussi, fidèle collègue, oui, je te prie de les aider, elles qui ont combattu pour l'Évangile avec moi, et avec Clément et mes autres compagnons d'oeuvre, dont les noms sont dans le livre de vie.
1 Thess 2:2 Après avoir souffert et reçu des outrages à Philippes, comme vous le savez, nous prîmes de l'assurance en notre Dieu, pour vous annoncer l'Évangile de Dieu, au milieu de bien des combats.
Col 1:28-29 C'est lui que nous annonçons, exhortant tout homme, et instruisant tout homme en toute sagesse, afin de présenter à Dieu tout homme, devenu parfait en Christ. C'est à quoi je travaille, en combattant avec sa force, qui agit puissamment en moi.

POUR LA VERITE
Jude 1:3 Bien-aimés, comme je désirais vivement vous écrire au sujet de notre salut commun, je me suis senti obligé de le faire afin de vous exhorter à combattre pour la foi qui a été transmise aux saints une fois pour toutes.
2 Cor 7:5 Car, depuis notre arrivée en Macédoine, notre chair n'eut aucun repos; nous étions affligés de toute manière: luttes au dehors, craintes au dedans.
Heb 12:4 Vous n'avez pas encore résisté jusqu'au sang, en luttant contre le péché.
Phil 1:27 Seulement, conduisez-vous d'une manière digne de l'Évangile de Christ, afin que, soit que je vienne vous voir, soit que je reste absent, j'entende dire de vous que vous demeurez fermes dans un même esprit, combattant d'une même âme pour la foi de l'Évangile,

LE BON COMBAT
1 Tim 1:18 Le commandement que je t'adresse, Timothée, mon enfant, selon les prophéties faites précédemment à ton sujet, c'est que, d'après elles, tu combattes le bon combat,
1 Tim 4:10 Nous travaillons, en effet, et nous combattons, parce que nous mettons notre espérance dans le Dieu vivant, qui est le Sauveur de tous les hommes, principalement des croyants.

2 Tim 4:7 J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi.