lundi 29 janvier 2018

Se séparer pour Intercéder - M.FRANCOIS

Prédication audio 
Matthieu FRANCOIS:


IMAGINE

IMAGINE

Imagine un roi se dépouillant,
De toute sa gloire et de son rang,
Venant au milieu de son peuple perdu
Et leur apportant le salut.
Imagine un roi séchant les pleurs,
De tous ceux qui sont dans la douleur,
Désaltérant et nourrissant ses sujets,
De sa parole de vérité.
Imagine un roi si mal aimé,
D’un peuple qui l’avait acclamé,
Quand il parcourait les rues de la cité,
Guérissant les maux et les plaies.
Imagine un roi venu servir,
Se faisant esclave pour bénir,
Quand aux apôtres il lava leurs pieds souillés,
 Pour apprendre à nous humilier.
Imagine un roi si torturé,
Que sa peau éclate sous le fouet,
Une couronne d’épine sur son front,
Déchire sa chair sans façon.
Imagine un roi portant sa croix,
Au sein d’une foule qui aboie,
Comme des chiens enragés sur une proie,
Leur mépris renforce son choix.
Imagine un roi crucifié,
Offrant ses mains et donnant ses pieds,
Aux clous de la haine qui l’ont accroché,
Sur cette croix pour ton péché.
Imagine un roi qui t’a aimé,
Tellement fort qu’il a pu affirmer,
Qu’il donne sa vie en rançon pour nos vies,
Dans sa mort, tout est accompli.
N’imagine plus, mais crois en lui,
La mort n’a pu vaincre le messie,
Il veut être la lumière de ta vie,
Dans ce monde où règne la nuit.
N’imagine plus, mais crois en lui,
Il est ressuscité Jésus-Christ,
Accepte-le comme Sauveur et Seigneur
Mon ami donne lui ton cœur.

Sauveur Casano       

lundi 22 janvier 2018

Mort au péché, vivant pour Christ

Prédication audio 
Philippe ROIG:


HUMILITE


(Viens et vois 1944/02)
« N'aspirez pas à ce qui est élevé, mais laissez-vous attirer par ce qui est humble... » (Rom. 12/16.)
Le célèbre docteur Morisson, missionnaire en Chine, ne pouvant suffire aux immenses travaux qu'il avait entrepris pour l'avancement du règne de Dieu dans ce pays, écrivit à la Société des Missions qui l'employait pour la supplier d'envoyer le plus tôt possible un autre missionnaire pour l'aider.
Après avoir reçu cette lettre, les directeurs de la Société firent des recherches pour trouver un homme capable et dévoué qui voulût se consacrer à cette œuvre. A cette époque, la cause des Missions n'avait pas encore excité parmi les chrétiens tout l'intérêt qu'elle y a fait naître depuis et, en conséquence, l'appel de la Société ne produisit d'abord aucun résultat. A la fin, pourtant, quelqu'un se présenta. C'était un jeune homme pieux, mais arrivant de la campagne, pauvre, mal vêtu, timide et n'ayant rien de ces manières polies et distinguées que donne l'éducation ou le séjour des grandes villes. Quand les directeurs de la Société l'eurent examiné, ils se trouvèrent fort embarrassés. Sous le rapport du fond, de la piété, des connaissances bibliques, il n'y avait rien à dire, mais le reste laissait tant à désirer ! Après avoir fait retirer le postulant, ils s'entretinrent longtemps ensemble, et le résultat de leurs délibérations fut que décidément ce jeune homme ne pouvait pas être missionnaire, mais que s'il voulait partir comme aide attaché à la personne du docteur Morrison, on accepterait ses services à ce titre, en attendant mieux. Un des membres de l'assemblée, le docteur Philip, homme grave et pieux, fut chargé de faire part de cette décision au jeune homme.
Le docteur Philip aurait aimé à ne pas avoir à s'acquitter d'un tel message. Néanmoins il se rendit auprès du jeune homme, qui attendait dans une pièce voisine le résultat de l'entretien, et cherchant à adoucir, autant que possible, ce que la nouvelle avait de pénible, il lui dit que le Comité ne le trouvait pas capable d'être missionnaire, mais que s'il voulait partir comme aide, on lui fournirait les moyens de faire le voyage. A cette proposition, beaucoup se seraient probablement trouvés choqués et auraient répondu par un refus ; mais telle ne fut pas la pensée du jeune homme. Sur le champ, et avec le plus grand calme, il répondit au docteur Philip : « Comme le Comité voudra, monsieur. Si l'on ne me juge pas capable d'être missionnaire, je partirai comme aide. Je suis prêt à me faire coupeur de bois, porteur d'eau, ou toute autre chose, pourvu que je puisse travailler au service de mon Maître céleste. »
Et les choses s'arrangèrent en effet ainsi. Le jeune chrétien alla rejoindre le docteur Morrison à titre de serviteur ; mais il ne resta pas longtemps dans cette humble situation. A force de travail et de persévérance, il accrut le trésor de ses connaissances, ses manières s'affirmèrent et, en très peu de temps, il devint missionnaire en titre.
C'est lui qu'on connaît sous le nom du docteur Milne, l'un des missionnaires les plus excellents et les plus capables que l'Angleterre ait envoyé au milieu des idolâtres.
Dévouement et humilité, telles sont les deux vertus que prêche cet exemple, bien digne d'être imité de quiconque comprend ses devoirs envers le Seigneur. Le jeune missionnaire, dont le mérite fut d'abord ainsi méconnu, avait compris son devoir envers le Seigneur.
Magnifique exemple à suivre par nos frères qui ont un appel au service du Seigneur, mais qui n'arrivent qu'à peu de chose ou à rien parce qu'ils ne veulent pas subir la tutelle des anciens. Ils n'acceptent de travailler pour le Maître qu'à condition de sortir le plus rapidement possible comme évangélistes ou pasteurs volant de leurs propres ailes, bien entendu, sans trop d'effort ni de persévérance dans l'étude de la Parole.

lundi 15 janvier 2018

L'APPEL A LA FËTE 3/3


Par Claude Stalin (Radio réveil 1976/08-09)
La paix, cela existe !
Maintenant, je voudrais encore voir avec vous une dernière pensée... Quel sera le résultat de votre réponse à l’appel de Dieu ? Est-ce que cela va changer quelque chose pour vous d’entendre l’Evangile, et d’y répondre ? L’Ecriture nous dit : “Venez à moi vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.”
Nous savons très bien que ce ne sont pas les médicaments, les cures de sommeil ou toutes sortes de choses semblables, qui peuvent apporter le repos. Il n’y a qu’une personne qui peut apporter le repos à votre âme troublée, à votre vie en difficulté.
C’est celui qui, se présentant autrefois au milieu de ses disciples, les salua par ces paroles : “Je vous donne ma paix.” Je vous garantis que si aujourd’hui, vous voulez prendre la peine d’entendre la voix de Dieu et d’y répondre, vous recevrez un repos, une paix qui dépassent toute intelligence. Vous recevrez le repos de Dieu, parce que vous serez en paix avec lui et en paix avec vous-même. Car ce qui enlève le repos c’est la situation de votre âme, sa séparation d’avec Dieu.
Une parole sûre
“Confiez-vous en moi”, disait Jésus, “écoutez-moi, faites ce que je vous dis et vous vivrez”. Etes-vous méfiant à son égard ? Je sais que bien des êtres humains sont méfiants à l’égard de Dieu, mais c’est pour leur malheur.
Se méfier de Dieu, c’est la plus grande folie. Sachez qu’il n’a jamais trompé personne ! C’est pour cela que j’aimerais vous dire : ne doutez pas et ne craignez point, mais croyez seulement, ayez foi en Dieu. Il se peut que le monde vous ait trompé, que les hommes vous aient trompé et que vous-même, vous vous soyez trompé, mais sachez que Dieu ne peut pas vous tromper. Venez comme vous êtes. La Bible dit que, même si vous étiez éloigné de Dieu, et si vos péchés étaient rouges comme le cramoisi, ils peuvent devenir blancs comme la neige.
Alors aujourd’hui, vous êtes l’invité de Dieu, invité à sa paix, à sa bénédiction, à son repos. Ne rejetez pas follement cet appel sans réfléchir. Mais, si vous le voulez bien, dans une courte prière, même si c’est la première fois de votre vie que vous priez, dites-lui : Seigneur je n’ai jamais beaucoup pensé à toi, mais je te remercie de m’inviter. Je suis étonné d’entendre cette voix aujourd’hui, mais je suis conscient que c’est la tienne. Je ne savais pas que tu pouvais t’adresser à nous d’une façon si simple. Je reconnais vraiment a travers ces quelques mots que tu connais tous mes besoins; j’aimerais tellement mieux te connaître, Seigneur et j’ai tellement besoin de ton repos, que maintenant je me tourne vers toi et j’accepte ton invitation de tout mon cœur, je me confie en toi, je m’attends à toi et je veux commencer une vie nouvelle avec toi. Merci Seigneur. Apres cette courte prière, attendez-vous à ce que votre vie ne soit plus la même.    
Une vie nouvelle va commencer pour vous, beaucoup plus belle, je vous l’assure, que vous ne pouvez l’imaginer, car la Bible dit que nous avons tout pleinement en Christ.

Que le Seigneur soit avec vous et qu’il vous bénisse.

lundi 8 janvier 2018

Jésus et l'Ecriture

Prédication audio 
Philippe ROIG:


L'APPEL A LA FËTE 2/3


Par Claude Stalin (Radio réveil 1976/08-09)
Qui donc est Jésus ?
Cet appel nous donne une image juste du Christ, celui qui vient à nous, qui s’adresse à nous et qui s’intéresse à nous. Comme j’aimerais vous mettre en contact avec Lui ! Toutefois, je n’essaierai pas de vous éblouir, en vous parlant de sa gloire, de sa majesté, ou de vous étonner, en vous parlant de sa sagesse, ou de vous effrayer, en vous parlant de sa justice. Je voudrais tout simplement essayer de toucher votre cœur en vous parlant de son amour.
Connaissez-vous Jésus ? “Oh ! oui ! ”, me dira quelqu’un. “Il est venu il y a deux mille ans. Je connais mon histoire sainte. Je sais qu’il est né à Bethléem en Judée, qu’il a vécu en Galilée, qu’il a été crucifié à Jérusalem, au temps de Ponce Pilate.” Tout ceci est vrai. Mais combien de gens disent ces choses sans rien éprouver dans leur âme, sans rien ressentir dans leur cœur ? Connaître Christ de cette façon-là, ce n’est pas suffisant et cela ne peut pas vous apporter grand-chose. Je veux vous dire quelque chose de plus : Jésus-Christ est vivant aujourd’hui et aux siècles des siècles. Nous croyons en un Christ ressuscité, celui qui est apparu à Jean et lui a dit : “J’étais mort et maintenant je suis revenu à la vie.” Celui dont les Saintes Ecritures déclarent qu’il est le même hier, aujourd’hui et éternellement. Ce Christ, en effet, a été cloué sur la croix, où il a accompli la rédemption de tous nos péchés, où il s’est chargé de toutes nos maladies. Mais il n’est plus sur la croix. Il a été dans la tombe. C’est en vain que les femmes l’ont cherché le matin de Pâques. Il n’est pas parmi les morts. Il est vivant !
Et ce Christ, par son Esprit, se penche ver vous. Il a compassion de vous, qui êtes peut-être encore dans les ténèbres ou qui êtes en proie à la maladie, à la souffrance, à l’inquiétude, à la solitude. Il est venu vers moi et j’ai entendu son appel, comme vous aujourd’hui, alors que j’étais un pauvre infirme incrédule. Il m’a guéri de mon infirmité, il a changé mon cœur incrédule et il a donné un nouveau sens à ma vie. C’est ce Christ qui s’adresse à vous aujourd’hui.
Une invitation personnelle
Maintenant j’aimerais poser une seconde question. Qui donc est invité ? Pour qui est cet appel à s’approcher de Jésus-Christ ? Est-ce réservé à une classe de privilégiés ? Peut-être pensez-vous : “Mais Dieu ne s’intéresse pas à moi, sinon il ne me serait pas arrivé tous ces ennuis. Cet Evangile est pour certaines personnes, mais pas pour moi en tous cas.” Eh bien, vous vous trompez. Cette invitation n’est pas limitée à quelques-uns. Ecoutez-la de nouveau. Jésus dit : “Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés”, vous entendez bien, VOUS TOUS, et vous faites partie de ces VOUS TOUS. La Bible dit que Dieu ne fait acception de personne. Pensez-vous qu’en notre vingtième siècle, où le confort est si grand, où les progrès techniques facilitent soi-disant tant de choses, où les remèdes sont si répandus, que les hommes sont moins fatigués, et moins chargés qu’autrefois ? Pas du tout. Il n’y a jamais eu tant de gens aussi fatigués, et le fardeau qui est sur les épaules des hommes, n’a jamais été aussi lourd qu’aujourd’hui.

Peut-être que justement, vous êtes en train de lire ce message parce que vous ne pouvez pas dormir, parce que vous êtes vraiment écrasé par quelque souci. Eh bien, mon ami, c’est à vous particulièrement que cet appel est adressé. Le Seigneur est capable de changer votre situation. Quand il était sur cette terre, tous les gens qui l’entouraient étaient des gens fatigués, des gens chargés, et si vous êtes vous-mêmes dans cette situation, soyez certain que cet appel vous est adressé à vous particulièrement. C’est aussi pour vous aujourd’hui le jour de la bénédiction, le jour de la délivrance, le jour du salut, le jour de la grâce. Soyez certain que vous n’êtes pas rejeté de Dieu. Cet imprimé ne vous a pas été adressé par hasard, mais c’est l’occasion de Dieu pour parler à votre cœur, afin qu’aujourd’hui un nouvel espoir pénètre en vous, une nouvelle lumière illumine votre âme, et que vous aussi vous puissiez être sauvé, transformé.

lundi 1 janvier 2018

La Soif de l'Esprit

Prédication audio 
Philippe ROIG:


L'APPEL A LA FËTE 1/3


Par Claude Stalin (Radio réveil 1976/08-09)
De nombreux appels ont été adressés aux hommes par la voie des ondes. La France n’a pas encore oublié le fameux appel du 18 juin. Dans bien des occasions, des chefs d’Etat, des responsables de gouvernement, et parfois aussi d’autres voix, nous adressent des appels qui peuvent être poignants : le cas des réfugiés, les problèmes de la faim dans le monde en sont des exemples. Eh bien, j’aimerais vous faire entendre un appel encore plus important que tous ceux-là. Cet appel, c’est l’appel de Dieu.
Et si à travers cette voix, vous entendiez la voix de Dieu, je voudrais vous dire, comme le conseille l’Ecriture sainte : Ami, n’endurcis pas ton cœur, mais réponds le plus simplement possible pour ton bien présent et éternel à cette invitation de Dieu.
Un appel différent des autres.
Dans l’Evangile de Matthieu, au chapitre 11, verset 28, nous entendons de la bouche de Jésus-Christ, ces paroles si simples et si belles : “Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez du repos pour vos âmes, car mon joug est doux et mon fardeau léger.”
Cet appel de Christ est vraiment un appel de cœur à cœur. C’est certainement une des plus chaleureuses invitations qui soient adressées aux hommes.
Comment Dieu parle-t-il ?
Voyons quelques pensées concernant cet appel. Tout d’abord, de qui émane-t-il ? Alors que la voix de grands hommes se fait entendre aujourd’hui, dans des circonstances parfois dramatiques, ici c’est la voix de Dieu lui-même, qui nous est adressée par l’intermédiaire de son Fils Jésus-Christ, car celui qui a entendu le Christ, a entendu Dieu lui-même. Pour nous chrétiens, Jésus n’est pas seulement un prophète ou un philosophe, mais c’est le Fils de Dieu. Dans les Evangiles, nous lisons que Dieu lui-même a déchiré les deux pour déclarer : “Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toute mon affection.”

Ecoutez-le donc : Il a quitté la Gloire céleste pour venir nous adresser, à nous humains, cet appel extraordinaire qui a traversé tous les siècles et qui nous parvient aujourd’hui aussi puissant et merveilleux que lorsqu’il est tombé des lèvres bénies de notre Seigneur, parcourant la Palestine.