lundi 1 janvier 2018

L'APPEL A LA FËTE 1/3


Par Claude Stalin (Radio réveil 1976/08-09)
De nombreux appels ont été adressés aux hommes par la voie des ondes. La France n’a pas encore oublié le fameux appel du 18 juin. Dans bien des occasions, des chefs d’Etat, des responsables de gouvernement, et parfois aussi d’autres voix, nous adressent des appels qui peuvent être poignants : le cas des réfugiés, les problèmes de la faim dans le monde en sont des exemples. Eh bien, j’aimerais vous faire entendre un appel encore plus important que tous ceux-là. Cet appel, c’est l’appel de Dieu.
Et si à travers cette voix, vous entendiez la voix de Dieu, je voudrais vous dire, comme le conseille l’Ecriture sainte : Ami, n’endurcis pas ton cœur, mais réponds le plus simplement possible pour ton bien présent et éternel à cette invitation de Dieu.
Un appel différent des autres.
Dans l’Evangile de Matthieu, au chapitre 11, verset 28, nous entendons de la bouche de Jésus-Christ, ces paroles si simples et si belles : “Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur; et vous trouverez du repos pour vos âmes, car mon joug est doux et mon fardeau léger.”
Cet appel de Christ est vraiment un appel de cœur à cœur. C’est certainement une des plus chaleureuses invitations qui soient adressées aux hommes.
Comment Dieu parle-t-il ?
Voyons quelques pensées concernant cet appel. Tout d’abord, de qui émane-t-il ? Alors que la voix de grands hommes se fait entendre aujourd’hui, dans des circonstances parfois dramatiques, ici c’est la voix de Dieu lui-même, qui nous est adressée par l’intermédiaire de son Fils Jésus-Christ, car celui qui a entendu le Christ, a entendu Dieu lui-même. Pour nous chrétiens, Jésus n’est pas seulement un prophète ou un philosophe, mais c’est le Fils de Dieu. Dans les Evangiles, nous lisons que Dieu lui-même a déchiré les deux pour déclarer : “Celui-ci est mon Fils bien-aimé en qui j’ai mis toute mon affection.”

Ecoutez-le donc : Il a quitté la Gloire céleste pour venir nous adresser, à nous humains, cet appel extraordinaire qui a traversé tous les siècles et qui nous parvient aujourd’hui aussi puissant et merveilleux que lorsqu’il est tombé des lèvres bénies de notre Seigneur, parcourant la Palestine.